
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
2 décembre 2017, par
Hier, une décision du Conseil constitutionnel a fixé une échéance aux responsables politiques de La Réunion. Elle a confirmé l’élection de Nassimah Dindar comme sénatrice. La nouvelle parlementaire ne peut donc plus être en même temps présidente du Conseil départemental. Elle a donc 30 jours pour démissionner de ce mandat. Une nouvelle élection devra ensuite se tenir dans les 30 jours suivants pour désigner une ou un successeur à Nassimah Dindar. Ce scrutin suppose aussi de réélire une nouvelle Commission permanente. Autrement dit, deux ans et demi après les dernières élections départementales, l’assemblée se trouve dans la même situation qu’au lendemain de sa prise de fonction : elle doit se choisir un nouvel exécutif.
Dans le Conseil départemental, la droite est largement majoritaire. Mais un événement survenu la veille de la confirmation de l’élection de Nassimah Dindar est venu éclairer sur les divisions de ce groupe.
Pour remplacer Viviane Malet à la présidence du Centre départemental de gestion, la droite s’est scindée en deux courants qui avaient chacun leur candidat. Les positions étaient très tranchées, et les prises de position publiques étaient peu empreintes de diplomatie. Une aile ayant comme leaders Michel Fontaire, maire de Saint-Pierre, et André Thien Ah-Koon, maire du Tampon, comptait bien garder la direction de cette instution dans son giron. Elle a dû faire face à un autre candidat soutenu par Didier Robert, président de Région. Au moment de passer au vote, elle avoua par avance sa mise en minorité en quittant la salle, laissant le champ libre à l’élection du candidat de Didier Robert.
Chacun de ces courants convoite également la présidence du Conseil départemental. Des noms circulent publiquement. Cyrille Melchior, actuel premier vice-président de la collectivité est soutenu par Michel Fontaine et André Thien Ah-Koon, tandis que Jean-Claude Lacouture bénéficie du soutien de Didier Robert. Dans l’assemblée départementale, aucun de ces courants ne dispose à lui seul de la majorité. Chaque camp devra donc rechercher des alliances avec des groupes qui ne figurent pas dans la droite estampillée Les Républicains. En effet, même si le scrutin n’aura lieu que d’ici deux mois au plus tard, l’affrontement du CDG aura sans doute laissé des traces. Ceci rend à l’heure actuelle l’idée d’une réconciliation bien illusoire au sein de la droite. Voilà qui vient rappeler que la plate-forme présentée lors des sénatoriales n’était qu’une unité de façade. Elle a aussi éclaté une fois passé le scrutin et les divisions se sont affichées à la première occasion.
La recomposition de la Commission permanente pourrait donc déboucher sur une recomposition au sein des rapports de forces actuels du Conseil départemental. Cela pourrait donc placer dans l’opposition une partie de la droite qui avait triomphé aux élections de 2015 et faire émerger une autre majorité, qui devra gouverner en tenant compte de sensibilités diverses. Gageons que cela puisse remettre au premier plan l’idée de s’entendre autour d’un projet pour La Réunion. C’est en effet ce projet qui est à même de rassembler une diversité d’opinion, ce qui peut inaugurer d’une gouvernance bien différente du Conseil départemental dans deux mois au plus tard.
J.B.
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Messages
3 décembre 2017, 21:33, par Arthur
Merci pour ces infos, on n’est pas sorti d’affaire, 2017 est vraiment une bonne année pour certain(e)s. En ce jour historique en Corse, on se demande pourquoi ici, on ne fait pas la même chose à savoir, proposer un référendum pour fusionner le département et la région ? Ici, il n’y a qu’un seul département, ce sera plus facile encore, deux s’il y avait eu le "bidép" (préconisée par Lionel Jospin qu’on n’entend plus depuis 2002, le soir du 1° tour des présidentielle, battu. Démissonnaire de la vie politique). Ainsi, il y aurait de belles économies en ces temps de vaches maigres, car je pense que de nombreux doublons existent pour une île si petite et si belle ; à protéger à la fois, du béton qui l’envahit, des hydrocarbures qui la salissent et en tenant compte des jeunes qui font confiance, se forment à prendre les reines, on pourra compter sur eux dans l’avenir, aidons-les ! Arthur.