
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
13 avril 2013, par
Lors de sa dernière intervention télévisée, le président de la République avait fixé le cap : faire repasser le déficit public sous la barre des 3% en 2014. Il a indiqué que cet objectif devra être atteint sans augmenter les impôts. Cela imposera donc une nouvelle réduction des dépenses. Les maires savent déjà que les subventions de l’État aux collectivités connaîtront une baisse supplémentaire de 1,5 milliard d’euros.
Le budget 2014 se base sur une prévision de croissance. Si elle ne se vérifie pas et si les impôts n’augmentent pas, les recettes de l’État seront plus faibles qu’attendu, et par conséquent les coupes dans les dépenses devront être plus conséquentes.
Pour tenter de gagner de la croissance, le gouvernement mise sur la consommation et pas sur l’investissement. En effet, la réduction de la subvention aux collectivités diminue les marges de manœuvre des institutions qui sont les moteurs de la commande publique.
En France, de grands projets d’infrastructures sont remis en cause ou retardés : Grand Paris, couverture numérique, lignes à grande vitesse, canal Seine-Nord, musée de l’Histoire de France…
Pour relancer la consommation, une proposition est de demander aux travailleurs d’utiliser leur épargne. Le chef de l’État a évoqué le déblocage d’une épargne salariale, la participation, pour soutenir l’activité.
Mais dans "les Echos" d’hier, c’est la douche froide.
Au cours des 15 dernières années, la consommation avait toujours augmenté. Mais l’an dernier pour la première fois, elle a baissé par rapport à l’année précédente, signale le quotidien sur la base des données de l’INSEE.
Et depuis le début 2013, c’est l’effondrement : tous les secteurs sont en baisse sauf l’alimentation. Et encore, c’est une hausse en valeur, pas en volume, à cause de l’augmentation des prix. À La Réunion, l’effondrement se vérifie par la chute du nombre des immatriculations de véhicules neufs.
Autant dire qu’avec une crise pareille, il semble bien difficile de penser que la consommation va repartir, puisque la situation sociale aujourd’hui est encore plus grave que l’an dernier.
Après la hausse du chômage, c’est maintenant l’effondrement de la consommation. 2013 s’annonce bien plus difficile que 2012.
J.B.
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