
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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2 mai 2018, par
Au Cap, la menace d’une coupure d’eau pour 4 millions d’habitants est toujours d’actualité. En effet, les réservoirs qui alimentent la ville sont toujours en dessous de leur niveau normal. En conséquence, la première mesure consistant à limiter la consommation à 50 litres d’eau par jour et par personne est entrée en vigueur. Si cela ne suffit pas, alors 4 millions de personnes seront contraintes de se fournir en eau dans une des 200 fontaines publiques qui sera alors ouverte sous surveillance de la police. La quantité sera limitée à 25 litres par jour et par personne.
Au Cap, la crise de l’eau fait aussi apparaître un conflit quant à son usage. Une grande partie de la maigre ressource est consommée par l’agriculture. Elle sert à irriguer 15.000 hectares de vignobles. Si le robinet est coupé aux cultivateurs, alors ce sont des emplois supprimés et des travailleurs rejetés dans la grande pauvreté. Le Cap est une ville côtière, d’où la possibilité d’implanter une usine de dessalement d’eau de mer. Mais il faut alors fournir l’énergie nécessaire à son fonctionnement, sans qu’elle ait un impact dans la pollution. Car le problème qui touche le Cap est lié à la succession de plusieurs années de sécheresse qui ont mis les réserves à sec. Le développement du Cap et de l’agriculture dans cette région était lié à la présence de l’eau en abondance. Mais le changement climatique vient brutalement de changer la donne, imposant des mesures drastiques pour espérer maintenir la situation actuelle.
Ceci rappelle que la vitesse du changement climatique continue d’être plus rapide que la capacité d’adaptation des populations qui en subissent les effets les plus extrêmes. Il est alors nécessaire de changer de rythme, ce qui impose une nouvelle politique dans tous les domaines, notamment celui de l’eau. Le modèle occidental d’utilisation unique d’une eau rendue potable à grand frais avant d’être expédiée vers une station d’épuration montre aujourd’hui ses limites. La Réunion est aussi concernée, car ce modèle s’y applique, et tôt ou tard, le changement climatique fera surgir une crise de l’eau.
J.B.
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