
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
18 octobre 2013, par
Les États-Unis viennent de sauver leur pays de la faillite in extremis. Les discussions reprendront pour trouver une solution plus solide en janvier. Entre temps, le monde entier tremblera, car les dettes des États-Unis sont détenues dans les banques centrales de nombreux pays. Un effondrement du dollar aurait entraîné une réaction en cascade, bien plus importante que la chute de la vénérable banque Lehman Brother, en 2008.
D’ici la conclusion d’un nouvel accord, aucune institution sérieuse ne va se risquer à racheter encore des dollars en quantité. De fait, la crise va s’accentuer, et les possesseurs de dollars vont tenter de les placer en lieux plus sûrs, en les échangeant dans d’autres monnaies, le placement dans du métal ou l’achat de biens. Le temps est très court. Le dollar va s’échanger au rabais, ce qui va occasionner des pertes considérables pour les détenteurs de la monnaie américaine. Dans les jours à venir, la panique va vite devenir réalité.
C’est en ce sens qu’il faut comprendre les inquiétudes des grands argentiers d’Europe et d’Asie, qui avaient sommé les États-Unis à trouver un accord d’urgence. Jamais auparavant, les Américains n’avaient donné cette impression d’inefficacité, voire de désinvolture, envers leurs créanciers du reste du monde. La situation est tellement grave, le leadership américain tellement écorné, que personne ne peut imaginer l’avenir, même à court terme.
Les seuls qui soient dans leurs certitudes, ce sont les parlementaires conservateurs américains qui font peser sur le monde leur chamaillerie interne avec les collègues démocrates. Ils sont en retard d’une guerre, sans se rendre compte que la réalisation d’un marché unique et la globalisation des échanges qu’ils souhaitaient de tous leurs vœux, s’est enrayée. À cet instant, cela me fait penser aux responsables politiques parisiens qui continuent à traiter les Réunionnais avec mépris. La visite de Mme Ledoux est une illustration de ce qui ne doit pas être fait. Le monde a changé, il faut en prendre conscience.
J.B.
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