
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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12 juin 2010, par
“Témoignages” a déjà soulevé ce problème dans son édition de jeudi, mais il est tellement préoccupant que nous devons revenir dessus : il s’agit de la façon dont le président de la Région a décidé de mener la politique du tourisme à La Réunion. Et le problème de fond qui est posé, c’est que ce mode de gestion ne respecte pas les principes de la démocratie.
En effet, comme l’a annoncé Didier Robert lui-même à la presse mercredi dernier, désormais, c’est un “Pôle de compétence et d’expertise touristique”, « directement rattaché à la présidence de la Région », qui « aura en charge la définition, le suivi et le contrôle de l’ensemble des actions portées par notre collectivité en matière de tourisme ». Et l’Ile de La Réunion Tourisme (IRT), qui avait auparavant cette tâche, est reléguée au rôle « d’outil de commercialisation et de promotion ».
Or, il faut savoir que la Direction de l’IRT est composée essentiellement de personnes élues par les citoyens dans des collectivités réunionnaises ou à la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion. Et cette instance, dirigée par des représentant(e)s de la population, devra donc exécuter les décisions prises par une équipe de « professionnels », choisis uniquement par Didier Robert et proches de lui, dont on se demande quelle est leur légitimité.
En fait, qu’y a-t-il derrière cette coiffe de l’Ile de La Réunion Tourisme par le “Pôle de compétence et d’expertise touristique” : une tentative d’instrumentaliser certaines personnalités au profit d’une clientèle particulière ? Et cette façon de gérer un secteur aussi important est-elle réellement démocratique ?
Lors de la précédente mandature, l’IRT menait la politique du tourisme à La Réunion en toute transparence, dans le cadre d’un large partenariat entre représentants des collectivités et du monde professionnel. Cette politique a permis une nette relance de la fréquentation et des activités touristiques dans le pays.
Ce qui se passe actuellement dans ce domaine est très grave car cela illustre une nouvelle fois que la démocratie recule à La Réunion. Et comme il ne peut pas y avoir de développement durable sans une gouvernance démocratique, ce recul amène à amplifier l’appel du PCR au « sursaut réunionnais ».
L. B.
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