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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
12 septembre 2018
A la veille du Sommet mondial de l’action climatique qui commence aujourd’hui à San Francisco, un rapport conjoint de la FAO, de la FIDA, du PAM, de l’UNICEF et de l’OMS rappellent le lien entre changement climatique et faim dans le monde, et soulignent que le nombre de personnes qui ne mangent pas à leur faim à encore augmenté en 2017 :
« Selon le rapport sur l’Etat de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2018, de nouvelles preuves indiquent que le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde est en hausse, avec 821 millions de personnes en 2017, soit une personne sur neuf. Des progrès limités ont également été observés en matière de lutte contre les différentes formes de malnutrition, qui vont du retard de croissance chez l’enfant à l’obésité adulte, une situation qui menace la santé de centaines de millions de personnes.
La faim est en hausse depuis ces trois dernières années, marquant de ce fait une régression vers les niveaux enregistrés il y a près de dix ans. Cette régression signifie que davantage doit être fait si l’on veut atteindre l’objectif Faim Zéro d’ici 2030.
La situation s’aggrave en Amérique du Sud et dans la plupart des régions d’Afrique, tandis que la tendance vers la baisse du taux de sous-alimentation qui caractérisait le continent asiatique semble fortement ralentir.
Selon le rapport annuel de l’ONU, la variabilité climatique affectant le régime des pluies et les saisons agricoles et les événements climatiques extrêmes tels que les sécheresses et les inondations font partie des facteurs clés expliquant la hausse de la faim, sans oublier les conflits et les crises économiques.
« Les signes alarmants de la hausse de l’insécurité alimentaire et des différentes formes de malnutrition signifient clairement que des efforts conséquents doivent être déployés afin de s’assurer de « ne laisser personne pour compte » et de réaliser les Objectifs de développement durable liés à la sécurité alimentaire et à la nutrition », ont indiqué les dirigeants de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), du Fonds international de développement agricole (FIDA), du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), du Programme alimentaire mondial (PAM) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la préface de leur rapport.
« Si nous souhaitons parvenir à un monde libéré de la faim et de toutes les formes de malnutrition d’ici 2030, il est impératif d’accélérer et d’intensifier les actions visant à renforcer la résilience et la capacité d’adaptation des systèmes alimentaires, ainsi que les moyens d’existence des populations face à la variabilité climatique et aux événements climatiques extrêmes », ont ajouté les dirigeants. »
Voilà qui rappelle la nécessité d’une rupture avec les modes de production et de consommation actuels, qui entretiennent les inégalités et sont la cause du changement climatique. Ce rapport souligne aussi l’urgence d’agir pour empêcher la catastrophe. Le temps perdu dans l’inaction ne fait que réduire les possibilités de sortir de la crise par le haut.
J.B.
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