
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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21 mai 2021, par
La pandémie de COVID-19 a bouleversé la vie familiale dans le monde entier. Quasiment tous les principaux indicateurs de l’enfance ont régressé un an après la déclaration de pandémie, laissant les enfants confrontés à une nouvelle normalité dévastatrice.
L’année dernière, le nombre d’enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux a augmenté. Parallèlement, leur accès à l’éducation, aux possibilités de socialisation et à des services essentiels tels que la santé - y compris les vaccinations de routine -, la nutrition et la protection a diminué. La pandémie affecte également la santé mentale des jeunes et plonge leurs familles dans la pauvreté. De tels bouleversements sociaux et économiques augmentent les risques de mariage pour les filles les plus vulnérables.
Pour plus de 168 millions d’élèves dans le monde, les écoles sont fermées depuis près d’un an. Deux tiers des pays dont les écoles sont complètement ou partiellement fermées se trouvent en Amérique latine et dans les Caraïbes. La pauvreté des enfants devrait augmenter d’environ 15 %. D’après les projections, 140 millions d’enfants supplémentaires vivront au-dessous du seuil de pauvreté. Au moins 1 élève sur 3 n’a pas pu accéder à l’enseignement à distance pendant la fermeture de son école. Parmi les enfants et les jeunes, au moins 1 sur 7 a été soumis à des mesures de confinement pendant la plus grande partie des 12 derniers mois, ce qui est source d’anxiété, de dépression et d’isolement.
Les séquelles pour cette génération seront les mêmes que pour les générations ayant connu la guerre mondiale. Cette génération aura connu l’angoisse de l’enfermement, la déscolarisation, l’aggravation des conditions d’existence. Et pour renforcer l’angoisse, le message gouvernemental est catastrophique. On sacrifie la jeunesse pour préserver les personnes âgées. Cette génération acceptera elle d’être toujours la grande sacrifiée. Nous courrons le risque de voir s’effriter le pacte social par la révolte de la génération sacrifiée par la Covid. Nous le voyons déjà par la volonté de certain de mettre fin au système de retraite par répartition basée sur la solidarité entre les générations, pour mettre en place un système par capitalisation basé lui sur la propre capacité à épargner. Aujourd’hui, encore plus qu’hier, il faut faire le pari de la jeunesse et inventer des nouvelles solidarités.
« La jeunesse est une ivresse continuelle ; c‘est la fièvre de la santé ; c‘est la folie de la raison. » La Rochefoucauld
Nou artrouv’
David GAUVIN
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