
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
26 décembre 2009, par
Lundi dernier, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) a tenu une conférence de presse pour demander aux pays riches de verser d’urgence leur contribution au fonds de 30 milliards de dollars destiné à aider les pays les plus pauvres à faire face aux effets du réchauffement climatique. Ce fonds, à constituer durant les trois prochaines années — soit 10 milliards par an de 2010 à 2012 —, est prévu dans l’accord rédigé par les pays riches au Sommet mondial de Copenhague sur le climat.
Le lendemain, Ban Ki-moon a lancé un appel devant l’Assemblée générale de l’ONU à tout faire pour la réussite du Sommet prévu en septembre prochain afin d’atteindre les Objectifs millénaire du développement (OMD) d’ici 2015. Ces OMD, fixés en septembre 2000 par les dirigeants de la planète dans la "Déclaration du Millénaire", ont notamment pour but de réduire de moitié la pauvreté sur la Terre.
L’urgence de ces appels du responsable de la plus haute instance internationale en vue de « concrétiser les promesses de développement faites depuis longtemps aux populations les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète » est confortée par ce qui s’est passé à Rome lors des derniers Sommets de la FAO (Organisation de l’ONU pour la nourriture et l’alimentation). En novembre, Jacques Diouf, directeur général de la FAO, a déclaré qu’« un investissement de 30 milliards d’euros d’aide officielle au développement en faveur de l’agriculture des pays pauvres est nécessaire ».
Un appel non entendu par les dirigeants mondiaux, alors qu’ils « ont pu débloquer des millers de milliards de dollars en un temps très court » en faveur du monde bancaire spéculatif, regrette Jacques Diouf. Il va donc falloir se mobiliser dans le monde entier au cours des prochains mois pour combattre ce système ignoble du partage des revenus.
À La Réunion, ce combat pour diminuer au moins de moitié la pauvreté d’ici cinq ans n’est-il pas aussi une priorité ? Et n’y a-t-il pas assez d’argent à La Réunion, à répartir de façon équitable, pour que plus de 400.000 Réunionnais sur 800.000 ne soient plus sous le seuil de pauvreté ?
Dans notre île comme dans le monde, nous ne pouvons pas accepter que les intérêts de quelques privilégiés passent avant la souffrance des plus pauvres. Notre mobilisation des prochains mois a pour but principal de changer le rapport de forces et de dire halte à la pauvreté !
L. B.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)