
Sept prix Nobel d’économie exhortent la France à adopter un impôt sur les ultrariches
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30 octobre 2018, par
« Entre 1970 et 2014, les populations de vertébrés - poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles - ont chuté de 60% au niveau mondial et de 89% dans les tropiques, l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale. Les espèces n’ont jamais décliné à un rythme si rapide, qui est aujourd’hui cent à mille fois supérieur que celui calculé au cours des temps géologiques. Voici le constat alarmant de l’édition 2018 du rapport Planète Vivante, l’analyse scientifique mondiale réalisée tous les deux ans par le WWF sur l’état de santé de la planète et l’impact de l’activité humaine », ainsi commence un communiqué du WWF annonçant une nouvelle illustration de la crise environnementale sans précédent que connaît la biodiversité en raison d’une seule espèce, l’être humain. C’est donc la première extinction de masse évitable. Toutes les autres étaient le résultat de phénomènes physiques qui ne découlaient pas de l’action d’une espèce consciente de son action sur l’environnement.
Si le rythme continue, ce sont des animaux aussi emblématiques que les éléphants d’Afrique ou les rhinocéros qui pourraient disparaître prochainement. Ce qui rend cette extinction de masse différente des autres qui ont déjà eu lieu sur Terre, c’est son rythme. Elle se passe l’échelle d’une vie humaine. C’est bien autre chose que la dernière extinction de masse voici une soixantaine de millions d’années, qui avait permis aux mammifères d’occuper les niches écologiques occupées précédemment par les reptiles, car ce changement s’était produit sur des siècles, voire des millénaires ou bien plus encore.
Quand l’être humain a commencé à coloniser le monde, il a joué un rôle dans la disparition de mégafaunes en Amérique, en Australie ou à Madagascar. Mais ces extinctions avaient pris des siècles. Pour trouver un rythme comparable, il suffit de rester à La Réunion, où l’Ibis de Bourbon et les tortues terrestres ont été rayés de la carte en quelques décennies.
Mais ce que souligne le WWF, c’est que ce rythme concerne tous les continents, et toutes les espèces. C’est la conséquence d’un mode de production et de consommation qui épuise l’environnement dans le but de faire un maximum de profit. Or, l’effondrement de la biodiversité a des conséquences sur toutes les espèces vivantes, y compris l’être humain, qui sera donc forcément impacté par la première extinction de masse évitable.
J.B.]]
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