
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
12 mars 2016
Hier, nous avions annoncé que le secrétaire général des Nations-Unies a été invité à participer au Sommet de la Francophonie qui se tiendra au mois de novembre à Madagascar. S’il vient, alors cette rencontre prendra une dimension encore plus importante. Une preuve supplémentaire que d’importants bouleversements se déroulent dans notre région, sans que La Réunion y participe et ait son mot à dire.
24 heures plus tard, un nouveau fait vient confirmer cette évolution. Hier, Hery Rajaonarimampianina, président de Madagascar, a rendu une visite à la Commission de l’océan Indien. Le chef de l’État malgache est en effet invité à participer aux cérémonies de l’anniversaire de l’indépendance de Madagascar. Ce séjour vise notamment à renforcer les liens de nos plus proches voisins.
Au cours de la visite de Hery Rajaonarimampianina au siège de la COI, une importante nouvelle a été annoncée : l’Inde demande à être admise dans l’organisation, avec le statut d’observateur.
Cette volonté ne paraît guère étonnante. Le mois dernier, La Réunion accueillait le 31e Conseil des ministres de la COI. L’instance a validé l’entrée de la Chine, au titre d’observateur. Il apparaissait donc évident que la future superpuissance de l’océan Indien allait répondre à cette initiative. Rappelons que l’an dernier, Narendra Modi, Premier ministre de l’Inde, s’était rendu à Maurice pour renforcer le partenariat stratégique entre les deux pays. Du fait des relations historiques et culturelles qui unissent les deux pays, Maurice peut être un point d’appui du rayonnement de l’Inde dans toute l’Afrique australe. C’est pourquoi l’Inde ne peut que s’intéresser à la Commission de l’océan Indien.
Cela signifie que la COI aura dans ses rangs les deux pays les plus peuplés du monde, qui seront amenées à être des superpuissances mondiales au cours de ce siècle.
Les Réunionnais sont tenus totalement à l’écart de ces changements, alors qu’ils sont directement concernés. Le communiqué de la COI annonçant la candidature de l’Inde ne dit pas si des Réunionnais étaient présents. Se pose donc immanquablement la même question : qui était là pour représenter La Réunion ?
Cette question renvoie au déroulement du dernier Conseil des ministres de la COI. Il se passait à La Réunion, mais aucun Réunionnais n’a eu le droit de s’exprimer lors de la cérémonie d’ouverture marquant le lancement de la présidence française de l’organisation. C’est un secrétaire d’État de la France, pays distant de 10.000 kilomètres, qui a eu l’honneur de clôturer cette cérémonie. Or si la France peut parler à la COI, elle le doit uniquement à La Réunion. La Commission de l’océan Indien découle en effet de la Conférence des partis progressistes du Sud-Ouest de l’océan Indien créée dans les années 1970. Dans cette organisation fondatrice, les Réunionnais avaient droit à la parole au même titre que ses voisins, et la France n’était pas autour de la table.
Lors du dernier Conseil des ministres de l’océan Indien, aucun élu réunionnais assis au premier rang pendant les discours officiels n’a trouvé à redire de ce traitement infligé à La Réunion. Cet assourdissant silence sera lourd de conséquence, car qui défend les intérêts de La Réunion, si ceux que les Réunionnais ont élu préfèrent se taire. Il contribue à l’isolement de La Réunion dans son voisinage.
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