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3 mars 2008, par
Quelle ambiance, que de symboles, quelle force et quel espoir pour La Réunion...! Samedi soir, au Théâtre en plein-air de Saint-Gilles copieusement garni, s’est déroulée avec succès la 5ème édition du concert “Zénès Maloya”, organisé par l’Office départemental de la Culture et l’association Les Chokas, dirigée par Huguette et Christian Baptisto.
Le but premier de cette soirée, soutenue par la Région et le Département, était de lancer, huit mois avant le 20 Désanm, la célébration du 160ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage à La Réunion. Pendant près de trois heures, des dizaines d’artistes et le public “la pil pil ansanm” pour marquer cet événement au son du maloya.
Sept groupes de musiciens, chanteurs, danseurs et “moringèr” de grand talent, de tous les âges et aux styles très différents, ont participé à ce succès. Par ordre d’entrée en scène : les Tambours Sacrés, Patrick Manent, Zarlor, Gramoun Dada, Kozman Ti Dalon, Lindigo et Gramoun Sello.
Tous les jeunes ont rendu hommage à leurs vieux camarades qui ont lutté dans la seconde moitié du siècle dernier pour faire renaître le maloya et le faire reconnaître sur les scènes publiques. « Si lavé poin bann la, lavé poin anou. Nou tyinbo, nou larg pa », a lancé le leader d’une troupe.
Outre cette fidélité aux “zarboutan nout kiltir” et leur détermination à continuer leur combat pour la culture réunionnaise, les artistes de “Zénès Maloya” ont exprimé de façon éclatante et touchante toute la richesse de l’interculturalité réunionnaise. « Nou mélanz ansanm, nou lé métissé », a chanté l’un d’eux.
Cette richesse et cette force gênent peut-être ceux qui adorent voir les Réunionnais se battre entre eux. Ébin nou di bann la : La Réunion lé la !
L. B.
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