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16 juillet 2011
« Faible mobilisation », « taux d’abstention record », « faible croyance en un avenir meilleur », « manque de confiance dans les politiques ». Les signes ne manquent pas pour caractériser un des maux de notre société, le désespoir. Trouver des raisons de se mobiliser, de différentes manières que ce soit quand bon nombre sont convaincus que « cela ne changera de toute manière, rien ». Comme si à un moment notre destin ne nous appartenait plus, comme si nous ne pouvions rien y faire, comme si tout était joué d’avance et ce parce que des forces nous dépassent et notamment des forces financières. Quand le pouvoir de l’argent dépasse le pouvoir des Hommes…
Nos représentants politiques, femmes et hommes de la cité qui dans le pire des cas se résigneront à ce système (voire le défendront). Au mieux, ils s’accrocheront à ce que l’on pourrait qualifier d’utopie : changer radicalement les choses mais sans revoir les fondements de notre société. Tel un cycle, demain, les jeunes d’aujourd’hui devront assumer des responsabilités importantes, assurées hier par d’anciens jeunes. Cette notion de responsabilité exige de toute évidence la notion d’anticipation.
L’Organisation des Nations Unies a lancé en Août dernier, l’Année Internationale de la Jeunesse. Une volonté de convier les jeunes aux tables de décisions parce qu’ils sont l’avenir mais aussi parce que leur situation ne cesse de se dégrader, payant plein pot les ravages de l’irresponsabilité de certains dirigeants de ce monde. Le but est aussi de redonner de l’espoir à la fois aux jeunes mais finalement à toute la société.
Le Secrétaire Général des Nations Unies, Monsieur Ban Ki-moon, au moment du lancement de cette Année Internationale déclarait : « l’énergie propre à la jeunesse peut rallumer une économie qui vacille » et nous devons « reconnaître et célébrer ce que la jeunesse peut apporter à l’avènement d’un monde plus sûre et plus juste » avant de conclure sur la nécessité de le faire, notre destin à toutes et à tous, quelque soit notre âge ou notre race, était commun.
Une année placée sous le thème du « dialogue et de la compréhension mutuelle », un message fort à destination des jeunes via le slogan « Notre Année, Notre Voix ». Devenir acteur, dire ce que nous souhaitons, ce à quoi nous sommes attachés et ce que nous aimerions changer.
Partout dans le monde depuis le mois d’août 2010, les jeunes s’expriment et ils sont célébrés. En décembre dernier à Prétoria en Afrique du Sud, était organisé le plus grand évènement de cette Année Internationale. Des milliers de jeunes, du monde entier, rassemblés sur plusieurs jours autour de débats, conférences sur des sujets de société. Pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’Ile de La Réunion fut représentée par une délégation de jeunes Réunionnais. Un moment exceptionnel, une expérience humaine, extrêmement enrichissante.
A La Réunion, jeudi 14 juillet 2011, nous avons célébré cette Année Internationale de la Jeunesse, sous le nom de Festival International de la Jeunesse Réunionnaise. Un projet a d’ailleurs été présenté, dont l’objet n’est pas de porter un jugement sur telle ou telle personne ou même sur tel ou tel parti mais d’être une force de propositions, de solutions, de perspectives.
Ainsi, nous avons voulu, dans le cadre de notre année, faire remonter les propositions des jeunes. Parfois des propositions dans de grandes lignes, parfois des petites mesures qui ne sont pas moins importantes pour autant. Qu’importe finalement, tant que des propositions sont faites. Aussi, certains se presseront de dire que cela est impossible, nous leurs disons « laissez-nous rêvez de notre avenir ne serait-ce que pour tenter d’en faire une réalité ».
Nous n’avons pas la prétention de croire que ce que nous disons à travers ce projet est entièrement juste, fixé, gravé dans le marbre. Là n’est pas le problème. Notre souci est que toute la jeunesse puisse s’exprimer librement, que toute la jeunesse puisse s’exprimer librement sur son avenir.
FIJR
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