
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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16 octobre 2007, par
La semaine passée s’est tenue l’assemblée générale de l’Association pour le Développement de La Réunion (ADIR). Une XXXIIè édition marquée par la présence de plusieurs centaines d’industriels et placée sous l’égide de l’ouverture vers la Chine. Cette ouverture, saluée et souhaitée par tous, se concrétise déjà dans la réalité et les nombreuses interventions ont pu mettre, avec fierté, l’accent sur telle ou telle opération déjà bien engagée et dont, manifestement, on attend beaucoup.
Un engouement tout à fait légitime tant sont énormes les enjeux et les perspectives qu’une telle coopération peut représenter pour La Réunion. Mais cette unanimité était loin d’être la règle quand - quelques années auparavant, vers l’année 2004 - la Région Réunion avait donné l’impulsion de cette politique. Que n’avait-on entendu alors ? ! « C’est loin... qu’est-ce que l’on va faire là-bas ? Etc.... ». Depuis, les ronchons habituels et les défaitistes qui désarment avant même de commencer se sont tûs et les véritables spécialistes du terrain ont traduit dans les faits cette volonté politique clairement affirmée et constamment soutenue par la Région. Le bilan largement positif de ce qui a déjà été entrepris a fait le reste. Mais, de façon plus générale, cette relation de La Réunion et de la Chine ne peut rester dans le cadre étroit de relations bilatérales. La présence de la Chine dans la région, en Afrique notamment, nous impose une vision beaucoup plus large allant de la C.O.I. à l’Europe.
Mais, à ces différents niveaux, l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) veille. Si les règles de libre-échange ultra-libéral peuvent évidemment profiter à de petites économies, elles sont généralement sans pitié pour d’autres qui, soudainement, sont fragilisées de façon irréversible. C’est pourquoi ce qui s’est passé récemment à la COI, dans le cadre de la recherche d’un accord de partenariat avec l’Union Européenne, peut constituer un modèle s’il aboutit. Il s’agit de se mettre d’accord sur deux principes dont le premier est le respect absolu de chacun des pays impliqués. Le second principe veut que les voies de progrès pour chacun de ces pays concernés ne puissent s’explorer au détriment du progrès chez les autres. C’est cela même la base du co-développement. Le bonheur des uns ne peut en aucun cas se construire sur le malheur des autres.
J.-M. C
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