
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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30 juin 2020, par
À travers le monde, les matières plastiques représentent 85 % des déchets marins. Et ces plastiques se retrouvent jusque dans nos poumons et sur nos tables, les microplastiques étant présents dans l’air, dans l’eau et dans les aliments, sans que nous n’en connaissions encore les conséquences pour notre santé. Remédier au problème du plastique est inévitable mais peut aussi ouvrir des perspectives en matière d’innovation, de compétitivité et d’emploi.
Ainsi à l’échéance 2021, sont interdits les cotons tiges, les couverts, les assiettes, les pailles, les bâtonnets mélangeurs, les tiges pour ballon, les produits oxodégradables (contenants un additif qui les dégrade en microfragments de plastique qui ne peuvent plus être collectés), les contenants alimentaires et gobelets en polystyrène.
Néanmoins avec la crise sanitaire des produits dont le circuit d’élimination était maîtrisé se retrouvent à usage du grand public, on parle des masques, des gants, charlotte et surchaussure.
Tant que ces produits entraient dans les circuits d’élimination hospitalière, l’impact sur l’environnement était restreint. La quantité de déchets plastiques qu’on a pu enlever, sera remplacée par ces nouveaux produits à usage unique.
Il convient de repenser très vite nos modes de consommation et de privilégier le durable au jetable ! Prenons l’exemple du masque, s’il est en tissu réutilisable, avec un circuit de recyclage, son impact sur la nature est nul. Ici nous pouvons aussi citer la filière de ramassage des bouteilles qui permet de réutiliser 70 % des chopines collectées.
Déjà la Grèce antique connaissait ce dilemme, d’ailleurs Anaxagore de Clazomènes qui écrivit dans ses Fragments (Ve siècle av. J.-C.) : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ».
Nou artrouv’
David Gauvin
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Messages
30 juin 2020, 19:54
Pas besoin d’aller si loin, ici, sur l’île de la Réunion, il y a de plus en plus de déchets, fruits de notre société capitaliste de consommation. Avez-vous remarquer que l’on trouve facilement des masques sanitaires usagés par terre, à la plage, flottant près de nos enfants... C’est honteux ! Irresponsable. Pour sauver les emplois, on ne pense qu’à relancer la surconsommation, faire oublier au plus vite les restrictions dues au confinement. On appelle cela la croissance, soit l’inverse de ce qu’on devrait faire, si on pense sérieusement à l’avenir pas au court terme pour notre planète qui nous supporte et dont on dépend.
Hélas, on va découvrir ces déchets, résultats des importantions, volontaires par bateau ou bien avion, ou bien par les courants marins. C’est donc plus de pollution sur le litoral, puis dans les décharges, les rues, les ravines... Que va-t-on laisser aux enfants, nés ou à naitre ? Certains commencent à le réaliser et reprochent aux baby boomers, à la retraite aujourd’hui, d’avoir bien profiter des 30 glorieuses, d’avoir eu de bons salaires qui ont progressé durant leur carrière, d’avoir bénéficié de la retraite à 60 ans, de voyager hors congés pour bénéficer de bons tarifs en promotion, accumulant des miles pour les prochaines fois etc. Ce qui n’est pas faux. Les jeunes, en attente ou déjà au travail, devront à la fois, payer les retraites des gramounes, épargner pour exu, travailler plus, jusqu’à 65 ans, voire 67 comme en Espagne, c’est ce que certains prévoient déjà, Nous devons à la fois les aider, leur faire prendre conscience, leur faire confiance pour préparer un avenr meilleur. Pour certains, l’avenir sera le passé en pire ! On verra bien, et on ne pourra pas se plaindre, il sera trop tard, inutile d’être nostalgique, encore moins réac. Arthur qui espère l’aitonomie énergétique, les transports ferrés, les téléphériques, du travail pour les jeunes, faisons confiance aux élus que l’on a choisit, ils sont là pour ça : améliorer la vie de tous !