
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
23 août 2013, par
Les affaires révélées par 2 jeunes Américains sur la manière dont des institutions officielles de leur pays se permettent d’espionner tout le monde, ont fini par ridiculiser les hautes instances dirigeantes de la première puissance militaire mondiale et leur ont faire perdre la face.
Totalement à découvert, celles-ci ont, dans un premier temps, construit un « pare-feu » en s’attaquant aux 2 individus et en les accusant du délit... d’espionnage. Ce qui est un comble ! Puis, devant des publications de plus en plus confondantes, la présidence des États-Unis a fini par reculer et reconnaître le bien-fondé des révélations.
C’est ainsi que le journal "le Monde" titrait, hier : « Espionnage de la NSA : les États-Unis reconnaissent que l’agence a violé la loi. » Il poursuit : « Le gouvernement américain a reconnu, mercredi 21 août, que la National Security Agency (NSA) avait bien violé la loi encadrant la surveillance des communications électroniques entre 2008 et 2011.
Trois documents secrets ont été déclassifiés, notamment une décision de la Foreign Intelligence Surveillance Court (FISC), le tribunal secret chargé de superviser les écoutes et de valider ou rejeter les programmes de la NSA. Celle-ci a mis secrètement fin en 2011 à l’un des programmes de surveillance, jugé illégal car il n’aurait pas été capable de séparer les communications d’étrangers de celles d’Américains.
Quelque 56.000 courriers électroniques de citoyens américains auraient ainsi été récoltés illégalement. La Constitution américaine garantit en effet des mandats individuels dès que la surveillance concerne des nationaux ou des étrangers se trouvant sur le territoire américain. »
Les autorités ont donc menti quand elles disaient que seulement 1,6% des messages étaient retenus.
J.B.
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