
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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14 avril 2018, par
La nuit dernière, les armées des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France ont mené des bombardements en Syrie. L’opération fait suite à une attaque aux armes chimiques dont les responsabilités ne sont pas établies. Plusieurs thèses s’affrontent. De leur côté, les dirigeants occidentaux affirment qu’elle provient de l’armée syrienne. Ailleurs dans le monde, ce point de vue n’est pas partagé. Ainsi la Russie dénonce une manipulation. Elle rappelle qu’après la libération d’une contrôlée par les terroristes en Syrie, une usine d’armement comprenant un arsenal d’armes chimiques a été découvert. Ce qui veut dire que ce sont des groupes terroristes qui détiennent ces armes de destruction massive. Par ailleurs, les armes chimiques détenue par l’armée syrienne ont été détruites sous supervision internationale. Ceci souligne donc une certitude : les opposants du gouvernement syrien ont eu les moyens de fabriquer des armes chimiques. Quant à l’armée syrienne, si son arsenal a été démantelé, aucune preuve n’existe au sujet de sa reconstitution. D’où la proposition du secrétaire général de l’ONU : une enquête internationale impartiale.
Cette incertitude existe même dans une déclaration du gouvernement britannique visant à justifier les bombardements. Le complexe militaire attaqué est « supposé conserver des armes chimiques ». Une supposition n’est pas une certitude. C’est pourtant sur cette base que trois dirigeants de pays de l’OTAN ont décidé de bombarder un État souverain sans déclaration de guerre.
Le comportement de ces dirigeants montre un aspect de la démocratie à l’occidentale. Bien entendu ces bombardements ont été faits sans que les parlementaires puissent être au moins consultés. Ensuite, ils ont été perpétrés sans aucun mandat de l’ONU. Ce sont juste trois puissances militaires qui ont mobilisé une partie de leurs arsenal pour faire une démonstration de force. Dire que les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France veulent se donner l’image de patries des droits de l’Homme.
Ces bombardements ne vont pas contribuer à faire baisser la tension dans une des régions du monde les plus instables. C’est au contraire la négociation qui doit prévaloir pour une solution à la guerre civile en Syrie.
J.B.
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