
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
5 septembre 2005
Alors que l’on commence à parler de 10.000 morts dans le Sud des États-Unis, des voix se font entendre pour s’étonner de l’impréparation de ce pays au choc du cyclone.
Dans une offre d’assistance à la Maison-Blanche, le président de la République du Venezuela s’étonnait que l’ordre d’évacuation ait été lancé si tardivement ; et qu’il n’ait pas été assez efficace, pourrions-nous ajouter. Car rappelons qu’avant le Sud des États-Unis, Katrina avait quelques jours auparavant touché la Floride, une autre région de la superpuissance, puis s’était renforcé dans le golfe du Mexique avant de s’abattre sur la Louisiane, le Mississippi et l’Alabama.
Pendant toute cette période, le météore était sous l’étroite surveillance des météorologues américains et ceux-ci ont fait état de leurs prévisions de trajectoire et de puissance du cyclone. Ces quelques jours n’ont pas suffi pour évacuer plusieurs millions de personnes. La veille du passage de Katrina, les axes routiers étaient bloqués par des embouteillages monstres.
A-t-on sous-estimé la violence du cyclone ? La population a-t-elle bien perçu la gravité de la situation ? Comment expliquer le retard des secours ? Pourquoi aucun bilan n’est donné plusieurs jours après ?
Ce sont des questions qui amènent des réponses autres qu’envoyer l’armée tirer sur les pillards. Car c’est un pays industrialisé qui a été surpris par un phénomène climatique qui fera des milliers de victimes. Un pays qui, à première vue, a les moyens de prévenir et d’anticiper. Mais les dirigeants américains préfèrent consacrer ces moyens à une autre politique. C’est un choix qui se paie très cher aujourd’hui.
Manuel Marchal
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