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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
7 mai 2016, par
Jeudi prochain, une nouvelle journée de manifestations contre le projet de loi El Khomri est annoncée en France selon la CGT. Ce sera la 5e action de ce type depuis l’annonce par le gouvernement de son projet.
Le 12 mai marque en effet la fin du débat à l’Assemblée nationale. Les syndicats veulent interpeller les députés, à 5 jours du vote solennel. Le gouvernement pèse de tout son poids, et le Premier ministre n’écarte pas le recours à l’article 49-3 de la Constitution qui permet l’adoption d’une loi sans vote, à condition que le gouvernement obtienne la majorité lors d’un vote de confiance qui fait suite à la motion de censure déposée par l’opposition.
Les syndicats s’inquiètent à juste raison d’un projet de loi qui fait la part belle aux revendications du patronat. Il facilite les licenciements, permet de contourner la représentativité des syndicats, ainsi que les conventions collectives. La crainte est la fin de la protection de la loi et l’instauration d’un Code du travail dans chaque entreprise.
Ces points clés du texte relativisent les annonces faites à La Réunion par des soutiens du gouvernement. Ces derniers mettent en avant des amendements pour étendre dans notre île les conventions collectives, ou améliorer la représentation des syndicats. Si le projet de loi passe, alors à quoi serviront les conventions collectives puisqu’elles pourront être remises en cause par des accords d’entreprise. Quant à la représentativité des syndicats élus par le personnel, elle sera reléguée au second plan par la possibilité d’organiser des référendums.
À La Réunion, les conséquences d’une telle loi seront bien plus graves qu’en France. Il suffira en effet d’une baisse du chiffre d’affaires pendant seulement un trimestre pour rendre possible les licenciements dans les entreprises de moins de 11 salariés, soit l’essentiel des sociétés à La Réunion. Notre île compte déjà un taux de chômage proche de 30 % et plus de la moitié des jeunes sont privés d’emploi. Comment dans de telles conditions retrouver un travail ?
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