
Hommage à la femme de Bruny PAYET
1er juillet, parLa section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
22 octobre 2020, par
En 2017, le Conseil d’État avait été saisi par des associations écologistes pour baisser la pollution de l’air dans les grandes villes françaises. Le gouvernement devait élaborer et mettre en œuvre des plans relatifs à la qualité de l’air permettant de ramener dans plusieurs territoires, les concentrations de dioxyde d’azote (NO2) et de particules fines (PM10) en dessous des valeurs limites fixées. En l’absence de résultat, le conseil d’État a contraint le gouvernement à 10 millions d’euros par semestre. Cet ultimatum prendra effet dans quelques mois précisément.
54 000 euros par jour, c’est le montant de l’amende que l’État français devra payer s’il ne réagit pas très rapidement. Le CE se montre très sévère car il n’en est pas à son premier avertissement. En 2017, l’état avait été sommé d’améliorer la qualité de l’air dans les zones très exposées, conformément a la réglementation européenne. 3 ans après, les associations écologiques estiment que le compte n’y est pas. Le Conseil d’État leur a donné raison en rendant cette décision !
L’institution salut le travail réalisé en Haute-Savoie et félicite celui effectué sur Paris mais juge insuffisante la feuille de route des autres agglomérations concernées. Il est à noter que ce montant est le plus élevé jamais retenu par une juridiction administrative française à l’encontre de l’État. C’est clairement une honte pour l’État français… De plus, ce montant pourra être révisé par la suite, y compris à la hausse, si la décision de 2017 n’a pas toujours été pleinement exécutée. Alors quelle solution rapide peut être mise en place ? Aider les VTC, les artisans à passer à l’électrique.
Nos amis européens sont des exemples à suivre. Prenons le cas de Milan : pour circuler en voiture dans la ville, il faut payer 5euros chaque jours et 10 euros a Londres. Dans les 2 cas, le niveau de pollution a diminué en même temps que la densité du trafic routier.
Bertrand Ancelly
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Nadia Payet, veuve de notre camarade Bruny Payet. Témoignages adresse ses condoléances à (…)
Mézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Face à l’urgence de la situation de la maltraitance animale à La Réunion, l’association CIANA a lancé un appel aux décideurs, afin de "travailler (…)
Mézami,médam, zé méssyé , la sossyété, lé pa toulézour wi gingn in bon akèye. Défoi oui, défoi non, sirtou dann in sossyété wi koné pa bien lo (…)
Cinq mois après le lancement du plan « Anti-bandes », composante majeure du plan d’action départemental de restauration de la sécurité au (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)