
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
11 avril 2005
Une grande bataille est en cours dans toute l’Europe et Outre-mer pour faire échouer la tentative des “élites” européennes - de droite et de “gauche” - d’imposer aux peuples de l’Union un projet de “Constitution” très dangereux pour leur avenir. Dans cette bataille, les partisans du “non” au référendum organisé à ce sujet dans la République française le 29 mai prochain ne manquent pas d’arguments SUR LE FOND. Car en lisant le texte et en décortiquant chaque article de ce projet, il n’est pas difficile de voir le piège qu’il recèle, ou les contradictions qu’il soulève, ou encore ce qu’il entraîne de remise en cause des droits sociaux et démocratiques.
Mais SUR LA FORME, il y a également une raison essentielle de rejeter ce texte, afin d’obliger les instances dirigeantes de l’U.E. à en proposer un autre, plus juste et acceptable. Cette raison, c’est celle que l’on entend le plus souvent lorsqu’on en parle avec les gens : "On ne sait pas ce qu’il y a dans ce projet et on nous demande de dire “oui” ? Ce n’est pas possible".
Vendredi soir, au premier grand meeting unitaire du Collectif réunionnais pour le “non”, Jean-Pierre Técher, président d’Agir contre le chômage, a parfaitement résumé cet argument populaire : "Le traité, ni koné pa kosa néna dodan é i di anou alé vote oui".
Au même moment, on trouve sur le net une étude très argumentée d’Étienne Chouard, professeur de Droit à Marseille. Et sa première raison de dire “non”, il la trouve dans le fait que le texte soumis à référendum est littéralement "illisible". En effet, il est matériellement impossible - pour la plupart des citoyens - de lire et d’étudier en quelques semaines un texte juridique de 852 pages en format A4, soit des feuilles de 21 cm sur 27,5 cm, qui constituent une ramette et demie de papier. (voir en page 4)
Il n’est pas innocent - de la part des auteurs et des promoteurs de ce projet - de faire voter les gens sur un document illisible, incompréhensible. Il est clair qu’ils se moquent de nous. Eh bien... c’est non ! Non au mépris.
L. B.
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)