
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
10 février 2022, par
L’océan couvre plus de 70 % de la surface de notre planète mais reste cependant trop souvent en marge des grands rendez-vous de l’agenda international et européen.
Régulateur des grands équilibres environnementaux et en particulier du climat, pourvoyeur de riches ressources de toute nature, vecteur majeur d’échanges économiques, lien essentiel entre pays et communautés humaines, l’Océan est aujourd’hui menacé par de nombreuses pressions comme les effets du changement climatique, les pollutions et notamment celles dues au plastique, et la surexploitation des ressources marines. Pour mobiliser la communauté internationale et agir concrètement à réduire ces pressions sur l’Océan, le Président de la République française a décidé d’organiser du 9 au 11 février 2022, à Brest, un One Planet Summit dédié à l’Océan. Ce « One Ocean Summit » se tiendra dans le cadre de la Présidence française du Conseil de l’Union européenne et est organisé avec le soutien des Nations Unies. Le One Ocean Summit a pour objectif de relever le niveau d’ambition de la communauté internationale sur les sujets maritimes et de traduire en actions concrètes notre responsabilité partagée sur l’Océan.
Les 9 et 10 février plus d’une trentaine d’évènements, ateliers, forums, évènements, rencontres et initiatives se tiennent en amont du segment de haut niveau, pour mobiliser la « communauté maritime internationale ». Ils couvriront une multitude de thèmes de portée globale pour aborder l’océan dans toutes ses dimensions et porter, en plus des constats déjà faits, des solutions. Dans la matinée du 11 février, le Président Emmanuel Macron réunira un nombre restreint mais déterminé de chefs d’Etat et de gouvernement, de responsables d’institutions multilatérales, de chefs d’entreprises, de décideurs de la société civile prenant des engagements ambitieux. Plusieurs initiatives importantes seront ainsi lancées à cette occasion pour la protection des écosystèmes marins et la pêche durable, la lutte contre les pollutions, notamment plastique, la réponse aux effets du changement climatique comme pour promouvoir une meilleure gouvernance des océans. Ces trois journées de forums et d’ateliers retransmis en direct sur Internet devraient attirer au moins quatre cents participants et des milliers de spectateurs. Au menu : sciences, culture, éducation, aires marines protégées, mais aussi « économie bleue », un terme dont la définition et la vision varient selon les interlocuteurs. Les quatre principales entreprises européennes du transport maritime et des acteurs du tourisme doivent y faire part de leurs efforts pour réduire les impacts de leurs activités. La séquence politique programmée le 11 février pourrait donner lieu à des « engagements de Brest » de la part de trente-cinq pays fondateurs.
« Nous, les scientifiques, attendons beaucoup de ce sommet, nous ne savons pas jusqu’à quand l’océan pourra jouer son rôle de régulateur du climat », assurait Françoise Gaill, chercheuse au Centre national de la recherche scientifique, CNRS, lors d’une conférence de presse. De mercredi 9 février à vendredi 11, Brest se mue en « capitale mondiale des océans », accueillant le One Ocean Summit, ce rendez-vous international dédié à la protection des océans. ONG, scientifiques, financiers, entreprises et politiques sont conviés. Des dizaines de chefs d’État sont attendus par les organisateurs, mais le nom de ceux qui seront effectivement présents n’est pas encore connu. « La santé de l’océan est en déclin, mais nous pouvons l’interrompre dès 2022 », a annoncé, enthousiaste, Peter Thomson, envoyé spécial de l’ONU sur les océans. L’ambition est haute, mais le détail du programme reste flou et de nombreuses associations regrettent déjà que certains sujets, comme la pêche industrielle, ne soient pas au centre des débats. Une manifestation contre la « privatisation des océans » aura lieu à l’extérieur du sommet, à l’appel d’organisations écologistes et de pêcheurs, vendredi matin.
Ce sommet doit répondre à 3 enjeux majeurs.
« En 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan », a répété Peter Thompson. Le One Ocean Summit veut agir en lançant des « initiatives importantes […] pour la lutte contre les pollutions, notamment plastique » qui seront connues vendredi, à l’issue d’un échange entre chefs d’État, chefs d’entreprise et différentes organisations. Un traité pour la haute mer, elle représente près de 45 % de la surface de la planète. Or, dans ces immenses espaces, le droit international et les normes environnementales sont lacunaires. Le sommet entend faire progresser les travaux sur le sujet de la gouvernance en haute mer afin d’y protéger la biodiversité. L’accord devrait aboutir en mars prochain, à New York. Sur ce point, plusieurs ONG environnementales s’attendent à des progrès notables.
« Tous les jours, nous commandons des produits qui sont acheminés par bateau », a dit la ministre de la Mer Annick Girardin. Problème : le fret maritime est responsable d’environ 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et de multiples pollutions. La ministre espère « entraîner, à Brest, des grands armateurs et grands ports » dans la logique du « verdissement » du transport maritime. Le sommet fera la part belle au retour du transport à la voile, mais aussi des navires propulsés au gaz naturel liquéfié (GNL). Pour l’heure, difficile de savoir si une décroissance du trafic est envisagée.
Les fonds marins regorgent de minerais et autres ressources qui attisent les convoitises. L’industrie minière en eau profonde se développe. Face aux risques environnementaux, une demande de moratoire a été cosignée par des dizaines d’États, et même de multinationales. Emmanuel Macron s’est jusque là abstenu d’y apposer l’appui de la France. La logique de « croissance bleue » que prône le président français repose entre autres sur l’exploitation des ressources sous-marines, les associations craignent ainsi que le One Ocean Summit ne soit l’occasion pour les États et multinationales d’accentuer le développement de l’industrie minière en eau profonde.
« Homme libre, toujours tu chériras la mer » Charles Beaudelaire
Nou artrouv’
David Gauvin
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