
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
23 septembre 2005
La hausse durable importante du prix du pétrole est un signe qui nous indique que le "peak oil" se rapproche. Le “peak oil” est l’instant à partir duquel la production pétrolière mondiale va commencer à décliner inéluctablement, faute de réserves suffisantes. Et pour les membres de l’ASPO (Association for the study of peak oil), ce “pic” ne serait pas à situer dans plusieurs décennies comme l’indique les groupes pétroliers, mais il serait "à portée de main". Peut-être même pourrait-il déjà être en cours tellement le mode de calcul du volume des réserves prouvées est peu fiable, estime l’ASPO.
L’ASPO, c’est une association de plusieurs instituts universitaires de géologie animée par des anciens dirigeants de la prospection de groupes pétroliers tels que Total, Fina ou Shell. Ces personnes nous alertent sur les conséquences du “peak oil” : un choc pétrolier permanent. Dans les transports, qui dépendent largement des hydrocarbures, mais aussi dans l’agriculture. Selon l’ASPO, avec l’utilisation intensive des engrais et la mécanisation qui ont permis d’augmenter considérablement la production, "l’agriculture est devenue une filière de transformation du pétrole en nourriture". Conséquence : "Tous les pays dont la démographie repose sur une agriculture intensive (les pays développés et un grand nombre de pays en développement) ont quelque matière à s’inquiéter d’une augmentation séculaire et irréversible des prix du pétrole". Cette analyse nous montre la complexité de la situation. Elle prouve que ce n’est pas en agissant sur les taxes que l’on peut résoudre le problème. C’est au contraire un appel à une profonde remise en cause.
Manuel Marchal
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