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29 janvier 2013, par
La principale île des Seychelles, Mahé, a subi de très fortes pluies dans la nuit de dimanche à lundi. La cause vient d’un phénomène dépressionnaire à proximité du pays. La situation a été jugée suffisamment préoccupante pour que le gouvernement décrète l’état d’urgence. Le Président James Michel a lancé un appel à l’aide internationale, car les moyens nationaux ne sont pas à la hauteur de l’urgence et de l’ampleur du désastre. La plateforme d’urgence de la PIROI va certainement entrer en action, car cela relève de ses missions.
Les autorités ont annoncé que plusieurs régions ont été inondées, entraînant des glissements de terrain et causant d’importants dégâts aux habitations. Par bonheur, il n’y a pas eu de victime, mais les dégâts matériels sont considérables. On a recensé jusqu’à 150 maisons inondées dans 3 districts très exposés : Anse aux Pins, Pointe Larue et Au Cap. Par contre, il y a peu d’informations sur les établissements hôteliers.
Les Seychelles n’avaient jamais connu de tels phénomènes, car ils sont situés en dehors de la zone intertropicale qui génère des cyclones. Peu habitués, les dirigeants du pays ont préféré jouer la transparence. En effet, le pays vit beaucoup du tourisme qui draine un public très exigeant, 2 fois plus nombreux que la population locale. Sitôt connu, les agences et sites spécialisés dans le tourisme ont vite réagi et ont adressé des alertes pour parer aux complications.
Ces intempéries, en cette période de l’année, pourraient signifier que le climat a changé aux abords des Seychelles. Les dirigeants du pays redoutaient particulièrement la disparition des îles, les raz de marée et les tsunamis. Ils ne s’attendaient certainement pas à ces pluies diluviennes, terriblement dévastatrices quand tout le monde dort. Désormais, l’urbanisation, la vie sociale et économique vont connaître des ajustements pour faire face aux imprévus. Les assurances qui vivaient jusque-là sur des rentes seront très sollicitées. Le coût des dégâts aux routes et équipements publics sera considérable.
Espérons que la France et La Réunion seront les premiers sur le front de la solidarité.
J.B.
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