
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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23 janvier 2015, par
Le 17 juillet dernier, un avion de la Malaysia Airline transportant 298 personnes était abattu au-dessus de l’Ukraine. Le vol reliait Amsterdam à Kuala Lumpur. Il transportait des personnes de plusieurs nationalités, dont beaucoup de Malaysiens et un nombre important de Néerlandais. Plusieurs passagers devaient ensuite se rendre en Australie pour participer à une importante conférence d’ONUSIDA.
À peine l’avion s’était-il écrasé que Kiev accusait les Ukrainiens de l’Est d’avoir tiré sur l’avion avec des armes russes. Cette thèse était rapidement reprise en boucle par les médias dans les pays de l’OTAN. Arrivé au pouvoir à la suite d’un coup d’État, le régime de Kiev ne fait aucun mystère sur son intention d’adhérer à l’OTAN. Pour sa part, l’organisation militaire américaine n’a cessé de se renforcer ces derniers mois en Europe de l’Est. L’annexion de Kiev dans le dispositif occidental permettrait aux armées de l’OTAN d’avoir des bases de lancement très proches du cœur de la Russie. La tragédie du vol MH17 a donc été utilisée pour faire passer les opposants au régime de Kiev pour des barbares, afin de les discréditer dans l’opinion publique internationale.
Mais rapidement, d’autres informations ont mis en cause l’armée ukrainienne. Selon plusieurs experts, les dégâts infligés au Boeing de la Malaysia Airlines n’ont pu provenir que d’un missile tiré par un avion. La Russie avait repéré un avion de combat très proche du Boeing sur le radar. Le « Strait Times », le journal de référence en Malaisie, avait mené une enquête très fouillée arrivant à la même conclusion : le crime avait été commis par un autre avion. Or, en Ukraine, seule l’armée de Kiev dispose d’avions de chasse.
Le 24 décembre dernier, c’est un officier de l’armée ukrainienne qui a confirmé cette thèse. Il a vu un chasseur décoller avec tout son armement et revenir après sa mission sans ses missiles. Il avait donc fait feu sur une cible. Pour cet officier ukrainien, l’avion malaisien « s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment ».
Pour faire toute la lumière sur l’assassinat de 298 personnes, la Russie avait demandé qu’une enquête transparente soit menée par une équipe internationale indépendante. Mais c’est une opacité la plus totale. Tout d’abord, la commission d’enquête comprend les 4 pays suivants : Ukraine, Pays-Bas, Belgique et Australie. La Malaisie en est exclue alors que 43 Malaysiens sont morts, contre 4 Belges et 0 Ukrainien. La Malaisie a en effet pour le moment refusé de signer un document conditionnant sa participation à la commission d’enquête.
Une fuite venant d’Australie a permis d’en savoir plus sur ce mystérieux document. Il s’agit d’un droit de veto sur la divulgation d’information et des résultats de l’enquête. Si un pays s’oppose à la transparence, alors rien ne doit sortir. L’accord lui-même ne peut être rendu public. Qui a peur à ce point de la vérité pour cautionner une telle censure ?
Souhaitons que la « communauté internationale » se ressaisisse pour que les responsabilités puissent être clairement définies et rendues publiques. Il en va du respect de la mémoire de 298 victimes.
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