
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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3 août 2007
Le président de la République a décidé de renforcer les moyens de l’État pour lutter contre les cancers et la maladie d’Alzheimer, et pour améliorer les soins palliatifs des malades en fin de vie. C’est une idée juste et nous ne pouvons que nous féliciter de cette initiative car le soutien aux malades du cancer et aux personnes âgées est une grande cause nationale, qui va d’ailleurs se compliquer dans les années à venir.
Mais le choix politique du chef de l’État pour financer ces actions pose un réel problème. En effet, il demande à tous les malades ayant besoin d’examens, de soins médicaux et de médicaments de financer eux-mêmes les recherches et les traitements liés à ce projet.
Évidemment, les pouvoirs publics ont besoin de la solidarité nationale pour trouver les moyens financiers de résoudre un tel problème. Mais quelle solidarité ?
Est-il décent de ponctionner 850 millions d’euros sur les personnes qui souffrent déjà de leurs problèmes de santé ? Ne serait-il pas plus juste de mettre d’abord à contribution celles qui ont le plus de moyens financiers ?
La solidarité consiste à utiliser des impôts modulés en fonction des revenus pour répondre aux besoins de la population. C’est la meilleure expression du soutien des Français les plus argentés à leurs concitoyens les plus fragiles.
Le système des “franchises médicales” que le chef de l’État veut imposer aux patients n’est donc pas juste, surtout quand au même moment sa majorité parlementaire décide de diminuer les impôts sur les plus gros revenus. Cela ne relève pas d’une vraie solidarité et cela va donc à l’encontre d’une société équitable, condition absolue d’un développement acceptable.
L. B.
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