
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
27 septembre 2018, par
La conclusion de notre éditorial d’hier, c’était de dire que le peuple réunionnais ne méritait pas que son histoire soit réécrite pour des raisons politiciennes. Mais quel est l’objectif ?
Manifestement, le procédé utilisé par la Région, illustré par son exposition sur le maloya qui doit tourner dans les lycées et les médiathèques, vise à sortir le Parti communiste réunionnais de l’histoire de La Réunion. En manipulant le maloya, il s’agit de s’attaquer à un des piliers de l’action du PCR, son engagement dans le combat pour la reconnaissance de l’identité réunionnaise.
C’est également la confirmation qu’il continue d’exister à La Réunion un courant réactionnaire, qui refuse que les actions politiques soient la conséquence des acquis historiques obtenus par la lutte des Réunionnais. Pour cela, il est nécessaire à ces réactionnaires d’inventer une autre histoire de La Réunion.
Ces adversaires du développement de La Réunion se sont dévoilés notamment quand ils ont mené campagne contre la Maison des civilisations et de l’unité réunionnaise. Quelles que soient leurs motivations, personnelles ou idéologiques, il est tout de même curieux de s’opposer à un projet qui avait pour but de valoriser sur un même plan tous les apports à la construction de la culture du peuple réunionnais, et de prétendre en même temps que l’on veut défendre la culture réunionnaise. La motivation était toute autre.
La prise de conscience qu’aurait permis la Maison des civilisations et de l’unité réunionnaise devait renforcer la conviction du Réunionnais qu’il fait partie d’un peuple unique, et qu’à ce titre il doit être respecté et avoir les moyens de son développement pour libérer son pays des séquelles de la colonisation. Cette reconnaissance de ce que l’on est, c’est un fondement du combat identitaire.
C’est précisément ce que redoutent ces réactionnaires, qui veulent maintenir à tout prix La Réunion dans son état actuel afin de sauver leurs privilèges, qui viennent de la crise dans laquelle notre pays se trouve. Et ils savent que la principale force de changement, c’est le PCR. D’où leur stratégie de prendre possession des concepts que le PCR a mis en avant pour amener le peuple réunionnais à se libérer. Il s’agit pour ces réactionnaires de vider ces principes de leur contenu revendicatif, pour que le peuple soit maintenu dans l’immobilisme. En cherchant à donner au PCR un rôle marginal dans l’histoire et en dévoyant son idéologie, ces réactionnaires cherchent à éliminer ce qui est pour eux le principal danger : le développement de La Réunion.
J.B.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)