
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
18 octobre 2005
Le 11 juin 2004, à 2 jours des élections au Parlement européen, une poignée de députés à l’Assemblée nationale vote an misouk une loi "portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés". S’y ajoute un amendement proposé par des députés UMP visant à faire connaître, à travers les programmes scolaires, "le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord". Cette loi sera votée en seconde lecture, le 23 février 2005.
Hier, à l’occasion de l’anniversaire de la manifestation d’Algériens du 17 octobre 1961 à Paris, réprimée dans le sang (des centaines de morts), de nombreuses associations ont réclamé, une nouvelle fois, l’abrogation de cet amendement scélérat, devenu l’article 4 de la loi du 23 février 2005.
L’avant-veille, samedi après-midi, l’un des débats des Rendez-Vous de l’histoire de Blois, portait précisément sur "la France malade de son passé colonial". 2 historiens, Pap Ndiaye, qui vient de diriger le numéro spécial de la revue l’Histoire “la Colonisation en procès”, et Françoise Vergès, vice-présidente du Comité pour la mémoire de l’esclavage, ont dialogué avec une salle nombreuse. Tous ont signalé combien la France de 2005 était rattrapée par la question du passé colonial de la République et, au-delà, de son passé esclavagiste. Et comment ce retour d’un refoulé historique nourrit au présent des identités traumatiques concurrentes.
Occasion pour tous de sonner l’alarme et de lancer un appel visant à "informer les enseignants et le public de la gravité du problème" et de demander au ministre de l’Éducation nationale de "se prononcer et d’intervenir au sein du gouvernement pour faire abroger l’article 4".
(d’après agences)
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