
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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11 août 2017
Comme il fallait s’y attendre, Gilbert Annette, Ericka Bareigts et leurs soutiens politiques sont totalement isolés car, au fond, ils soutiennent la politique du gouvernement et du président Macron. La mairie de Saint-Denis est pourtant géographiquement la plus proche de la préfecture, elle n’avait délégué aucun élu de sa majorité mercredi au rassemblement des maires contre la baisse du nombre des emplois aidés. 20 communes étaient alors présentes, elles ont constaté qu’il n’y aura pas de rentrée scolaire si le gouvernement ne répond à la revendication minimale de 3.298 emplois aidés pour assurer la sécurité dans les écoles et les transporteurs scolaires.
Ces 20 maires ont été rejoints hier par celui des Avirons. Dans un communiqué diffusé hier, Michel Dennemont déclare que « le désengagement de l’Etat concernant les quotas des contrats attribués aux collectivités risque de perturber fortement la rentrée scolaire ». Et d’ajouter que « au regard de toutes ces difficultés et contrairement à ce qui a été dit dans les médias, le maire des Avirons tient à affirmer et confirmer son entière solidarité avec tous les maires. Si le gouvernement continue a être sourd aux demandes des collectivités en termes de moyens, la rentrée des classes ne pourra pas se faire également aux Avirons comme dans les autres communes le 18 août 2017 ».
Du côté de Saint-Leu, une réunion est prévue aujourd’hui à la sous-préfecture de Saint-Pierre. À l’issue, Thierry Robert prendra une décision. Sera-t-il le 22e maire à rejoindre le mouvement ?
Pour Saint-Denis, l’affaire est déjà pliée : la rentrée aura lieu. C’est en effet ce qu’a déclaré l’ex-ministre Ericka Bareigts à l’issue d’une rencontre avec le sous-préfet d’arrondissement. Elle a déclaré qu’il faut 300 emplois aidés. Mais qu’à cela ne tienne, la commune dirigée par Gilbert Annette accueillera des enfants dans les écoles alors qu’il manquera plusieurs centaines de personnes pour les faire fonctionner correctement.
Saint-Denis est donc la seule commune où il est acquis que la rentrée scolaire 2017 aura lieu à La Réunion. La visite du ministre de l’Éducation la semaine prochaine ne trouvera donc pas uniquement des portes closes. Le gouvernement du président Macron sait donc qu’il peut compter sur le soutien de Gilbert Annette, d’Ericka Bareigts et de leurs amis. C’est un acte évident d’allégeance à un pouvoir parisien, malgré toutes les conséquences négatives subies par les Réunionnais.
J.B.
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