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15 janvier 2018, par
En France, cela fait plusieurs semaines que les autorités sanitaires sont mobilisées à la suite de l’annonce de présence de salmonelle dans des lots de laits pour bébé fabriqués par Lactalis. Au fur et à mesure des révélations, c’est dorénavant toute la production d’une usine de ce géant de l’agro-alimentaire qui doivent être retirés. Cette opération a été marquée par plusieurs ratés dans plusieurs enseignes de la grande distribution.
Lactalis est un géant de l’agro-alimentaire. Il domine le marché du lait. Cette position lui permet de fixer le prix du lait qu’il achète aux éleveurs. Ce sont des prix bas imposés qui ont été à l’origine de la colère des éleveurs. En effet, ces derniers ne sont plus protégés par les quotas. Lactalis peut donc se fournir auprès du plus offrant sur le territoire de l’Union européenne. Mais ce groupe est aujourd’hui confronté à un scandale sanitaire. L’État sera vigilant et ne laissera rien passer. En effet, le risque zéro doit être garanti dans un domaine aussi sensible que la nourriture.
Force est de constater qu’à La Réunion, ce principe de précaution n’est pas aussi grand. En effet, une grande partie du cheptel est touché par la leucose bovine. Une étude aux États-Unis a constaté que la consommation de viande issue de bêtes malades constitue un facteur de risque pour le cancer du sein. Lorsque la leucose bovine est identifiée dans un élevage, tous les animaux sont systématiquement abattus et retirés du circuit. Mais à La Réunion, cette mesure n’est pas appliquée par une dérogation existe. L’argument est que la leucose bovine ne fait pas courir de risque à ceux qui consomment la viande d’un animal contaminé.
Comment expliquer que la vigilance qui est de mise en France dans le domaine de l’alimentation n’est pas de même niveau à La Réunion ? En effet, force est de constater qu’aucune étude ne permet de garantir que pour ce type de risque, le climat tropical ou l’éloignement géographique de la France rend la population invulnérable aux virus.
J.B.
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