
Lo Ladministrassion o santre é tanpir pou lé zot !
8 juillet, parMézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
18 mars 2011
La capitale du Sud est la seule grande commune où il n’y pas de scrutin ce dimanche. Mais, le défaut de campagne électorale est compensé par la médiatisation d’un procès hors norme qui vise directement Michel Fontaine, maire et président de la CIVIS. Toutes les procédures préliminaires ont conduit à la conviction du juge d’instruction qu’il existe bien « une affaire de marché truqué à la CIVIS ».
Le tribunal s’est donné plus d’une semaine pour lui permettre de faire la vérité sur une affaire où se mêlent trafic lors d’un appel d’offres, pots-de-vin, conflit d’intérêts, gaspillage d’argent public, abandon de biens publics, etc. Le tribunal devra en particulier tirer au clair le degré de responsabilité de chaque protagoniste dans cette affaire complexe.
Mais, il y a une personne dont la responsabilité est entière : c’est le président de la CIVIS, Michel Fontaine. C’est lui qui a ordonné les dépenses et il est censé connaître la destination des fonds. Même s’il existe des délégations de pouvoir, la responsabilité de l’élu-ordonnateur ne souffre d’aucune restriction. Sa responsabilité est aggravante s’il est prouvé qu’il était au courant de l’affaire, à une étape quelconque de son développement. Cela soulève la question de complicité qui relève du pénal.
Au bout du procès, c’est la poursuite de son mandat d’élu qui est en cause. Vus différents aspects du dossier déjà rendus publics, tenant compte des condamnations d’élus dans d’autres affaires moins importantes, et compte tenu de la fermeté des magistrats, notamment au regard du calendrier du procès, il ne fait aucun doute que Michel Fontaine, en sa qualité de président de la CIVIS, risque gros. Sa ligne de défense est fragile car elle invoque « la bonne foi » mais celle-ci ne résistera pas au regard de certaines dépositions d’administratifs plutôt hésitantes. Pour peu que l’un d’eux craque, la digue emportera le premier magistrat de la capitale du Sud vers une condamnation qui entraînera son inéligibilité. Les jours qui viennent seront décisifs pour sa carrière politique.
J.B.
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