
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
11 janvier 2017, par
78 milliards d’euros, c’est le bénéfice cumulé estimé pour 2015 des sociétés composant le CAC 40. Cette somme considérable repose avant tout sur les richesses créées par les travailleurs. Mais elle est bien mal répartie. Elle va profiter à une minorité d’actionnaires.
C’est Total qui a arrive en tête de ces entreprises en termes de bénéfices, avec plus de 8 milliards. Son activité principale est l’exploitation du pétrole, une source d’énergie qui contribue à l’effet de serre. En seconde position se trouve Sanofi, un groupe pharmaceutique qui fait du profit en vendant des médicaments. BNP Paribas, AXA et Société générale arrivent ensuite dans le classement. Ce sont des sociétés financières.
Par ailleurs, les bénéfices des sociétés cotées au CAC40 sont en hausse de 20 % en 2015 par rapport à 2014. Les salaires des travailleurs de ces entreprises ne suivent pas la même évolution. Ce système a donc des privilégiés qui ne sont pas les créateurs de la richesse. Cela alimente des inégalités croissantes.
Lors de la présentation des projets de thèse qui seront discutés au 9e Congrès, le PCR donne un point de vue sur la situation internationale. Il voit un système dominé par les puissances de l’argent qui veulent tout écraser sur leur passage afin d’augmenter leurs profits. Leur puissance est si grande qu’elles arrivent à dépouiller les peuples de leur souveraineté. En effet, ce qu’un peuple décide est ensuite remis en cause par ses gouvernants qui se conforment aux orientations fixées par ces puissances de l’argent.
C’est pourquoi le PCR affirme sa solidarité avec toutes les forces qui luttent contre ce système. La croissance de la population du monde et les conséquences des attaques contre l’environnement amènent en effet à la prise de conscience qu’une autre politique est nécessaire. C’est à ce combat pour une nouvelle civilisation que le PCR veut apporter sa contribution.
J.B.
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Messages
14 janvier 2017, 23:07, par Didier Le Strat
Le Parti de la démondialisation le PARDEM est en accord total avec ce texte et nous pensons qu’il est urgent avant que les sièges sociaux de ces compagnie déménagent de reconquérir la souveraineté économique et industrielle par le retour à la nation des grands groupes industriels, de services et médiatiques, par des mesures protectionnistes dans le cadre rénové de la Charte de La Havane de 1948, pour une mutation écologique, sociale et démocratique des modes de production, de distribution et de consommation.
15 janvier 2017, 18:23, par Arthur
Voir, revoir, sur France Inter ("www.franceinter.fr"), cliquer sur programme, puis l’émission de 14 à 15h (heure de Paris) : " CO2 mon amour ". Celle d’hier samedi 14 Janvier, très bien encore une fois, les précédentes et les futures aussi. Pleines de sagesse, de bon sens, de logique, de passion que ferait bien se suivre les décideurs, d’ici et d’ailleurs, mais hélas, il y a de l’incompétence, de la non-volonté et la pression des lobbies, tout simplement. Tout cela pourrait nous faire abandonner, nous résigner ou bien plus positivement réagir car l’avenir est devant nous sans oublier celui de nos enfants qui, je l’espère, demain, aux commandes, citoyens électeurs, seront plus sensibles, respectueux, solidaires, réactifs et altruistes que nous, soit-disant adultes responsables. Nous verrons bien ce que nous apportera l’avenir local, national, mondial en 2017... Arthur.
21 janvier 2017, 14:14, par Didier
NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI !
Avec la crise généralisée du système capitaliste qui ne nous apporte que crises, chômage, exploitation, misère et guerres, certains prétendent régler le problème en s’en prenant à la FORME que l’économie a prise depuis au moins un siècle (voir la brochure que Lénine a écrite sur le sujet... en 1916 !), la mondialisation.
Tous ces "théoriciens" (de l’extrême droite, en passant par la droite, la gauche réformiste et même certains à l’extrême gauche) militent pour le retour aux frontières, la priorité donnée à l’économie nationale, pour lutter soi-disant contre la désindustrialisation et les fermetures d’entreprises. Dans le cadre de l’économie mondialisée, cette politique, si elle se mettait en place, se traduira immanquablement par une hausse des prix pour les consommateurs, une accélération des cadences dans les usines et donc de la souffrance au travail (ça a déjà commencé avec les campagnes sur la compétitivité des entreprises "nationales"), mais trouvera tout de suite ses limites dans les mesures protectionnistes que ne manqueront pas de prendre à leur tour les autres concurrents capitalistes, dans la nécessité de s’approvisionner toujours en matières premières à l’étranger (voire les études menées pour déterminer la provenance des matières nécessaires à la production de produits "made in France ou made in USA" !).
Revenir à la production nationale, voire pire à la petite production, pour espérer relancer l’emploi ou le protéger est une illusion.
C’est surtout lâcher la proie pour son ombre.
Car en s’en prenant à la forme prise par le système, on oublie de s’en prendre au système lui-même, le système d’exploitation capitaliste. On oublie que nos ennemis sont nos propres capitalistes !
Certains politiciens bourgeois ont fait délibérément le choix de mener leur campagne sur le terrain nationaliste, mais c’est pour orienter les travailleurs vers une impasse et protéger ainsi les vrais responsables de l’anarchie qui règne dans la société, à savoir les capitalistes.
En tout cas, en tant que communistes, nous avons le devoir de nous distancier de ces théories fausses et fumeuses et de dire la vérité aux travailleurs et chômeurs qui souffrent du système et aspirent à une société plus juste.
Nous devons le faire, car sinon, ce sont les idées nationalistes, xénophobes et racistes qui prendront le dessus, contamineront toute la société et empoisonneront la conscience de la classe ouvrière.
Et ce n’est pas un vain avertissement quand on voit quels scores fait aujourd’hui le Front national !