
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
24 octobre 2005
Selon une étude de l’INSEE publiée vendredi, 1,2 million de personnes étaient en situation de sous-emploi, soit près de 5% des actifs ayant un travail. Cette situation concernait des femmes dans huit cas sur dix et la probabilité d’occuper un temps partiel non voulu était plus forte chez les moins de 25 ans, les non-diplômés et les étrangers.
Ces emplois, qui sont pour plus de la moitié d’entre eux à mi-temps voire moins, ne cessent d’augmenter en nombre et se trouvent presque exclusivement dans le secteur tertiaire (services). On les trouve d’une manière générale dans les emplois précaires (CDD, emplois aidés).
Les personnes sous-employées travaillent une vingtaine d’heures par semaine en moyenne et souhaiteraient être à plein temps. Au bout du compte, l’INSEE constate qu’un actif sur cinq ayant un emploi a une durée de travail qu’il juge insatisfaisante.
Le nombre de sous-employés n’a cessé d’augmenter entre 1990 et 1998, passant de 3,6% à 6,6%. Puis, avec la décrue du chômage, ils ont régressé jusqu’au début de 2002, avant de repartir à la hausse pour atteindre 4,8% des actifs ayant un emploi l’an dernier.
D’une manière écrasante, ce sont les femmes qui sont sous-employées (environ 8,5% contre 2% chez les hommes). Chez les jeunes (20-24 ans), ce taux atteint 9,5% des actifs occupés en sous-emploi. Ainsi, le fait d’être une jeune femme fait exploser ce chiffre : 15,7% des actives à temps partiel voudraient travailler plus.
Autre facteur discriminant, la nationalité. L’INSEE note que "les étrangers sont beaucoup plus souvent sous-employés que les Français : 7,6% contre 4,7%".
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)