
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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12 mai 2010, par
Que fait concrètement la nouvelle direction du Conseil régional de La Réunion, depuis son élection le 21 mars dernier ? Entre autres choses, elle supprime toutes les pages du site internet de la collectivité sur ce qui a été fait avant.
Ainsi, par exemple, la reconnaissance du maloya comme faisant partie du patrimoine culturel de l’humanité est jetée à la poubelle par l’équipe qui dirige la pyramide inversée du Moufia. Il en va de même pour la route des Tamarins, le renforcement des relations entre la Chine et notre île, l’Appel de Nouméa pour le respect de la diversité culturelle, la mobilisation pour la célébration officielle du 19 Mars 1946, la fête du Jour de l’An tamoul… et même le 10 Mai, journée nationale de commémoration de l’esclavage.
À la première séance plénière de son mandat, la majorité de l’assemblée régionale décide de faire capoter un outil essentiel du développement durable de La Réunion : un centre culturel ouvert à toute la population pour faire connaître et valoriser toutes les richesses de notre identité (kisa nou lé, ousa nou sorte, ousa nou sava ?). Cette Maison des Civilisations et de l’Unité Réunionnaise est vouée aux gémonies, uniquement pour des raisons politiciennes fascisantes.
En effet, il n’y a aucun problème financier pour réaliser ce service public fondamental, les crédits sont là, l’enquête d’utilité publique est positive, les plus hautes personnalités du domaine culturel soutiennent ce projet dans le monde entier et au sommet de l’État français il est qualifié d’exemplaire. De façon totalement arbitraire, Didier Robert dit "niet".
Ces actes irresponsables font réfléchir lorsque dans toute la République on exalte la mémoire des tragédies et des résistances de notre Histoire. Ils sont d’autant plus graves qu’au même moment, le chef de l’État déclare dans son message pour le 10 Mai : « Il nous faut refuser l’oubli ».
Didier Robert, qui veut jouer au "p’tit chef", décide, quant à lui, de cultiver l’oubli, en rejetant la MCUR. Neuf ans après la reconnaissance par la République française de l’esclavage comme un crime contre l’humanité, va-t-on commettre à la Région Réunion un crime contre la mémoire réunionnaise ?
L. B.
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