
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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4 mars 2005
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Instructif le débat de l’émission “France Europe Express” diffusée dans la nuit de mercredi à jeudi par Tempo. Le sénateur socialiste Jean-Luc Mélenchon, ancien ministre de Lionel Jospin, a clairement expliqué que contrairement aux belles proclamations de principe contenues dans le projet de Constitution européenne, celle-ci va "imposer la suprématie de la loi du marché" à toute la société. À l’appui de sa démonstration, il a cité de nombreux articles du projet de traité, comme l’article III-210, qui "interdit l’harmonisation sociale par voie législative et réglementaire".
Pour sa part, le député UMP Nicolas Dupont-Aignan a dénoncé "le vide démocratique sidérant" de ce texte, par lequel "les États vont perdre la maîtrise de leur destin" en créant "une zone de libre-échange avec nivellement par le bas". Logique : c’est le but et l’intérêt des classes dominantes en Europe, qui veulent être toujours plus riches.
Face à ces arguments, le patron de l’UDF, François Bayrou, n’a rien trouvé de mieux - pour tenter de justifier son “oui” - que de répéter une déclaration mensongère et ridicule : s’opposer à ce projet ce serait être contre l’Europe et contre ses aides aux populations.
À peu près au même moment, sur LCI, un autre dirigeant du Parti socialiste et ancien ministre, Henri Emmanuelli, lançait sa campagne pour le “non” au prochain référendum sur ce texte. Bien que son parti ait décidé majoritairement d’appeler à voter “oui”, il expliquait qu’il "ne peut plus garder le silence" devant "l’orientation libérale" du projet. Il ajoutait que la social-démocratie européenne commet "une erreur historique" en suivant les partisans du “oui”.
Ces propos confortent ceux tenus mercredi dernier par Claude Hoarau sur les ondes de Radio-Réunion. Dans le cadre du débat ouvert par le PCR sur ce sujet, il a déclaré qu’il "ne faut surtout pas voter “oui”" car ce projet de Constitution "va à l’encontre des intérêts des Réunionnais". C’est là un critère essentiel.
L. B.
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