
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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12 mai 2015
La crise en Méditerranée était à l’ordre du jour d’une séance spéciale du Conseil de sécurité lundi dernier à New-York. Peter Sutherland, le représentant spécial des Nations unies sur les migrations internationales a déclaré que dans les 150 premiers jours de la seule année 2015, quelque 1 800 personnes se sont noyées en essayant de regagner l’Europe à partir de leurs propres pays déchirés par les conflits.
Il a déclaré : « la situation dans la Méditerranée représente d’abord et avant tout une crise de sécurité pour les centaines de milliers de réfugiés et de migrants sur le chemin du supplice : ceux qui risquent leurs vies pour traverser les mers, ceux qui sont piégés et maltraités dans les pays de transit, ceux qui fuient les conflits, les catastrophes naturelles et d’autres menaces à leurs vies et à leurs moyens de subsistance ».
Peter Sutherland a ajouté que 1 800 décès dans la Méditerranée dans le premier mois de l’année représentent une augmentation de 20 fois par rapport à la même période de l’année dernière, notant que, « à ce rythme, entre 10 000 et 20 000 migrants périront en automne ».
Le responsable de l’ONU a déclaré qu’environ un tiers de ceux qui traversent la Méditerranée sont des réfugiés syriens, tandis que des milliers d’autres sont de l’Erythrée, de la Somalie, de l’Afghanistan et d’autres pays, rappelant qu’en un seul week-end en avril, 900 personnes ont péri en tentant de traverser la Méditerranée.
Plusieurs causes sont à l’origine de ces drames. Ce sont les guerres, les inégalités et la croissance démographique. Sauf pour la dernière, la responsabilité des dirigeants occidentaux est engagée. Aussi bien en Somalie qu’en Syrie, en Afghanistan ou en Libye, pays devenu le point de départ de traversées, un pays de l’OTAN est intervenu au cours de ces 20 dernières années. Dans tous les cas, ces actions ont amplifié la déstabilisation du pays.
La solution défendue par l’Union européenne devant le Conseil de sécurité est encore une intervention militaire. L’OTAN serait mis à contribution pour détruire les bateaux des migrants avant leur départ des côtes libyennes. Cette action ne fera que déplacer le problème, car les causes de cette migration ne seront pas résolues.
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