
C’était un 30 juin
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2 octobre 2015, par
L’annonce du lauréat de l’arbre de l’année a occasionné 3 types de réactions. 1) le fromager de Guyane est le plus beau. Le choix est juste. 2) le verdict est tombé. Il faut l’accepter. 3) si l’un signifie la préservation de la forêt, l’autre souligne l’intervention positive de l’homme. Le débat est intéressant, ne le fermons pas.
Le premier groupe agit sur le sentiment esthétique, aux critères multiples et variés. Cela s’apparente à un sondage d’opinion mettant en avant des individus ou à une élection de miss à la télévision. A un moment les organisateurs étaient obligés d’arrêter le vote, car ils avaient constaté que des petits malins ont utilisé des robots pour frauder. Ils ont dû retirer des milliers de votes à l’arbre réunionnais.
Le deuxième groupe est fair-play. Il estime que c’était pour jouer. Le jeu est terminé. Le meilleur a gagné. Il sous-estime le rôle du jury qui intervient en dernier ressort. Dans ce cas, L’acceptation doit toujours être assortie de réserves. Les organisateurs auraient dû instituer un délai de recours.
Le troisième groupe pense que les critères subjectifs sont insuffisants. Le critère politique à été insuffisamment pris en compte. Le fromager de Guyane témoigne de la nécessité de préserver les forêts. Le message est tout à fait légitime. À ce stade notre arbre était alors hors sujet.
Ce vote ayant lieu dans le contexte de la grande Conférence de Paris sur le réchauffement de la Terre, il appelle à la responsabilité de l’homme pour corriger ses erreurs et ne plus recommencer. Le fromager de Guyane correspond parfaitement au message qu’il faut arrêter de détruire, et préserver. Cependant, il ne montre pas l’autre facette de l’homme, le bâtisseur responsable.
En effet, l’arbre réunionnais a une histoire. Eugene Rousse a parfaitement retracé dans son courrier l’existence de cet arbre. La main visible de l’homme penseur. Un Congrès des Jeunes du FJAR (Front de la jeunesse autonomiste réunionnaise) et un geste symbolisant l’amitié entre des peuples voisins. Trois arbres plantés par un Malgache, un Mauricien et un Réunionnais. En grandissant, les 3 arbres vont se joindre et ne plus former qu’un seul. L’histoire est belle et poétique. C’est un message avant-gardiste. Qu’est-ce qui nous empêche de lui accorder un noble prix ?
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