
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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21 janvier 2021, par
Au sein des chefs d’entreprise, la parité a toujours été remise en cause, car les hommes ont toujours été plus nombreux que les femmes. Les études ne cessent de montrer ce constat par des chiffres tout à fait parlant : moins d’un membre sur cinq des comités exécutifs, véritables antichambres du pouvoir, sont des femmes. Et celles qui y parviennent sont souvent cantonnées à des missions annexes comme la communication, les ressources humaines ou les responsabilités sociétales de l’entreprise.
Un exemple à suivre, survenu il y a quelques jours, c’est la nomination d’une femme à la tête de la Bourse de Paris. Une première ! Cela est un signe positif pour l’égalité femmes-hommes.
Il ne faut pas l’oublier, l’accès à la place de marché de la capitale a été interdit aux femmes pendant prés de 250 ans. Non seulement les femmes ne pouvaient accéder au Palais Brongniart, mais elles étaient aussi exclues des métiers de la finance. Cette nomination est une très bonne chose et permet de remédier à la faible part de femmes à la tête d’institutions bancaires. A ce jour, seulement 2 % de femmes occupent un poste à la tête d’institutions bancaire, à savoir le FMI et la Banque Centrale européenne (BCE).
La différence d’accès entre femmes et hommes aux postes d’encadrement et de direction dénote une inégalité dans les parcours professionnels. Ce constat est général dans la majorité des secteurs, même les plus féminisés.
Pour y remédier, nous devons changer les codes, en continuant à élargir les quotas notamment dans les conseils d’administration. Partons encore plus loin en proposant un projet de loi visant à les introduire dans les comités exécutifs. Reste le plus difficile à convaincre, les patrons souvent réticents à accepter les quotas qui pourtant feraient du bien à l’entreprise. Malgré que ces écarts soient réduits, ils persistent malheureusement toujours.
Bertrand Ancelly
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