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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
27 octobre 2016, par
Le WWF a publié hier le résultat d’une étude extrêmement alarmante. Elle confirme que la planète est en train de vivre une nouvelle période d’extinction massive. À la différence de celles de la fin du Crétacé ou de la fin du Précambrien, les causes ne peuvent pas s’expliquer par des phénomènes naturels. La responsabilité d’une seule espèce est engagée : l’être humain. Voici un extrait de la présentation de cette étude.
Les populations de vertébrés - poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles - ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012. Et si nous ne faisons rien pour inverser la tendance, ce déclin pourrait continuer à s’aggraver jusqu’à atteindre 67 % d’ici 2020. C’est sur ce nouveau constat alarmant que s’ouvre l’édition 2016 du Rapport Planète Vivante, analyse scientifique réalisée tous les deux ans par le WWF concernant la santé de notre planète et l’impact de l’activité humaine.
S’il était encore nécessaire de démontrer la responsabilité de l’Homme dans ce déclin de la biodiversité, le Rapport Planète Vivante 2016 s’appuie sur un second indicateur, l’Empreinte écologique, qui mesure l’aptitude de plus en plus limitée de la planète à subvenir aux besoins de l’humanité. Le 8 août 2016, l’humanité avait déjà consommé l’ensemble des ressources que la planète ne peut renouveler en une année. En huit mois, nous avons émis plus de carbone que ce que les océans et les forêts ne pouvaient absorber en un an, nous avons pêché plus de poissons, coupé plus d’arbres, fait plus de récoltes, consommé plus d’eau que ce que la Terre aurait pu produire sur cette même période.
En s’attaquant au capital naturel de la planète, l’humanité se met donc elle-même en danger puisque qu’elle dépend de l’état de santé des écosystèmes pour se développer et plus simplement pour survivre. Le Rapport Planète Vivante 2016 met plus particulièrement l’accent sur l’impact de notre système alimentaire, l’un des premiers facteurs de dégradation des habitats et de surexploitation des espèces (surpêche par exemple), de pollution et d’érosion des sols. A elle-seule, l’agriculture occupe environ un tiers de la surface terrestre totale, est la cause de 80 % de la déforestation mondiale et pèse pour près de 70 % de la consommation d’eau.
L’exploitation capitaliste basée sur l’utilisation massive des énergies fossiles et générant des pollutions a commencé en Europe occidentale et aux États-Unis au milieu du 19e siècle. En 200 ans, le capitalisme aura fait disparaître 67 % des vertébrés qui peuplent la Terre. C’est sans doute l’extinction massive la plus rapide jamais connue sur Terre. D’où l’urgence de dépasser ce modèle source d’inégalités et de catastrophes environnementales.
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