
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
13 juin 2016, par
Le 23 juin, les électeurs du Royaume-Uni sont appelés à décider du maintien ou pas dans l’Union européenne de l’Angleterre, du Pays de Galles, de l’Ecosse et de l’Irlande du Nord. La campagne du gouvernement pour le « oui » est loin d’être convaincante. Les conservateurs sont en effet L’Ecosse est une région représentant le tiers de la superficie du Royaume-Uni, et 10 % de sa population. Elle dispose de son gouvernement, de son assemblée et a donc une autonomie. Mais son adhésion à l’Union européenne dépend de Londres. En Ecosse, le premier parti est le Parti national écossais (SNP). Il est pour le maintien dans l’Union européenne et si le résultat du référendum ne va pas dans ce sens, il est prêt à demander l’indépendance de l’Ecosse. Dans cette région du Royaume-Uni, ce sentiment est largement partagé. Alyn Smith, député du SNP au Parlement européen est très clair sur ce point, dans un entretien paru samedi dans l’Humanité.
En cas de résultat défavorable au maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union européenne, « la question de l’adhésion de l’Ecosse au Royaume-Uni serait, pour nous, remise à l’ordre du jour. Si Londres nous retire malgré nous du projet européen, nous considèrerons à nouveau un référendum sur notre indépendance - notamment, mais pas seulement, pour rester au cœur de l’Union européenne ».
Et de préciser sa position : « si l’Ecosse maintient, comme les sondages le confirment, sa position favorable au maintien dans l’Union Européenne, la First Minister de mon Gouvernement écossais pourrait éventuellement remettre sur la table notre propre adhésion au Royaume-Uni. Nous avons beaucoup d’amis en Europe, avec lesquelles nous partageons une vision ouverte, solidaire du monde. Nous sommes fièrement pro-européen et de gauche, anti-austérité et écologistes, et le gouvernement de droite eurosceptique du Premier ministre David Cameron n’a rien fait pour nous rassurer, bien au contraire. Si le Royaume-Uni quitte l’Union européenne le 23 juin, nous demanderons éventuellement de quitter le Royaume-Uni, notamment pour adhérer à l’Union européenne qui est, jusqu’à présent, une organisation dans laquelle nous avons beaucoup plus de choses à partager, à apprendre de l’autre, pour faire face ensemble plutôt que seuls aux géants industriels ou aux autres puissances ».
Dans 11 jours, ce sera le scrutin. Il laissera des traces. En cas de victoire des opposants à l’Union européenne, les conséquences pourraient être la sécession de l’Ecosse, et la fin du Royaume-Uni. Cet événement ne pourra qu’accentuer la crise que traverse l’Europe, et aura des effets pour La Réunion, région intégrée à l’Union européenne.
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
Messages
13 juin 2016, 07:32, par Noel
La situation est complexe. Mais il est clair que la politique menée depuis quelques années a conduit à la paupérisation des peuples et à la montée des extrêmes. Dans le même temps le sentiment nationaliste à dépassé celui fédéraliste . D’où un repli sur des identités régionales plus fortes. Si l’Europe ne change pas sa constitution et si les états restent figés sur une position technocrate peu humaine, alors nous revivrons un éclatement de l’UE et des nations qui la composent : Ecosse Catalogne... Corse Bretagne... à réfléchir pour le projet dans les OM.