
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
15 décembre 2010, par
Un précédent unique dans un pays dont l’immense majorité des habitants est issue des vagues migratoires. Il y a 9 ans presque jour pour jour, les 19 et 20 décembre 2001, l’Argentine connaissait d’autres émeutes : la population s’attaquait aux supermarchés et aux locaux d’un gouvernement qui, en autorisant les capitaux à quitter librement le pays, avait provoqué l’effondrement du système économique. En quelques mois, le nombre d’Argentins vivant en dessous du seuil de pauvreté passa de 24% à 40%.
Les émeutes xénophobes d’aujourd’hui sont-elles aux antipodes du mouvement de 2001, d’où était né un mouvement de solidarité et de reprise en main des usines par les travailleurs ? Évidemment, oui. Au fond, la cause est pourtant identique : elle réside dans l’immense vague de pauvreté et de déracinement qui suit le déferlement de la crise dans l’Amérique latine.
Mais la crise n’est pas ce courant irrépressible auquel l’on voudrait nous faire croire : elle progresse en fonction de prescriptions, de recommandations et de scenarii organisés et planifiés dans des laboratoires et des institutions qui ont pour nom FMI, Banque mondiale, OMC… Pour les hommes en complet cravate qui y agissent, la vie des hommes et des pays ne sont que chiffres, statistiques, dépenses dans lesquelles il faut “trancher”, prix et profits qu’il faut libérer.
Mais voilà : pour libérer les prix et les profits, il faut enfermer les hommes. Les enfermer pour de bon, dans des prisons. Ou les enfermer dans la prison de la pauvreté, celle que l’on transporte avec soi dans l’errance. Une errance qui, comme à Villa Soldati, mène ceux qui n’ont plus rien face à ceux à qui il reste encore quelque chose.
Rien de plus simple, pour ceux qui assurent la promotion et le progrès d’une mondialisation injuste, de les dresser les uns contre les autres.
J.B.
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)