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La République française premier Etat à inscrire ce droit dans sa loi fondamentale
5 mars 2024, par
Hier, le Congrès des députés et sénateurs a adopté la réforme constitutionnelle inscrivant l’IVG dans le texte fondamental de la République. Ce vote vise à protéger un droit de toute remise en cause. En Europe et aux Etats-Unis, des gouvernements d’extrême droite ou proches de Trump ont remis en cause ce droit. Sur les 924 parlementaires, réunis en Congrès au château de Versailles, 780 ont voté pour et 72 contre.
La République française est le premier Etat à inscrire dans sa loi fondamentale le droit à l’interruption volontaire de grossesse. C’est le résultat du vote du Congrès des députés et sénateurs réuni hier à Versailles : 780 pour et 72 contre, la majorité des trois-cinquième est atteinte.
Cette initiative vient d’une proposition de loi déposée par la députée Mathilde Panot du groupe LFI. Elle a été reprise par le gouvernement. Elle avait donné lieu à des adoptions à une large majorité du texte par l’Assemblée nationale et le Sénat. Des parlementaires de l’extrême droite et du groupe LR avait alors voté contre.
Même schéma hier, avec 11 élus d’extrême droite, 50 LR et quelques centristes qui se sont opposé à cette réforme.
Dans plusieurs pays, l’IVG est remis en cause par des gouvernements qui veulent interdire aux femmes des classes défavorisées d’utiliser ce droit en multipliant les obstacles. Les riches ont en effet la possibilité d’aller dans un autre Etat pour cette intervention médicale.
C’est le cas ainsi dans plusieurs Etats des USA ainsi qu’en Europe, notamment en Hongrie.
M.M.
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Messages
5 mars 2024, 04:33, par Maillot joseph Luçay
L’inscription d’un droit dans la constitution devrait le rendre pratiquement inviolable pour toujours . Mais comme les autres lois , la constitution peut évoluer avec le temps .
Aujourd’hui on inscrit le droit à l’IVG dans notre constitution mais dans quelques années , lorsque la population ne se renouvellera plus parce que les français refuseront de faire des enfants pour des commodités personnelles, nous enlèveront ce droit de notre constitution et peut être que nous le considéreront de nouveau comme un crime comme cela était le cas il n’y a pas très longtemps et nous condamneront les personnes qui pratiqueront des IVG .
Dans les années 1970 des milliers d’avortements ont été pratiqués illégalement à la Réunion et leurs auteurs ont été condamnés sévèrement . Puisque nous inscrivons le droit à l’IVG dans notre constitutions ne faudrait il pas aujourd’hui réhabiliter ceux qui ont été condamnés pour avoir pratiquer des IVG hier ?.
Nos parlementaires ont inscrit le droit à l’IVG dans la constitution à une très grande majorité , mais pendant combien de temps ce droit restera intouchable . La constitution ne devrait pas être modifiée facilement au grès du temps qui passe . Aujourd’hui nous y inscrivons le droit à l’IVG , demain nous y enlèveront le droit d’être français à ceux qui naissent sur le territoire français ou nous y introduiront le droit de condamner à mort pour certains crimes.
La constitution est le marbre dans lequel on grave les grands principes , les droits qui doivent être éternels et lorsque nous y avons inscrits nos droits fondamentaux Ils doivent y rester . Rien ne nous empêche de les corriger en fonction de l’évolution du monde mais nous devons respecter la hiérarchie de nos lois . Fallait il inscrire inscrire ce droit à l’IVG dans notre constitution ? Faudra t’il demain y enlever le droit du sol pour acquérir la nationalité française ? Le droit à l’IVG est aussi une atteinte au droit à la vie ; la suppression du droit du sol pour acquérir la nationalité française va aussi à l’encontre de nos obligations de solidarité et de fraternité universelle jusqu’où pouvons nous aller dans l’évolutions de notre droit ? Nous avons changé plusieurs fois de constitution depuis la révolution française et nous passeront peut être bientôt à la 6eme république puis après un certain temps à la 7eme , mais nos grands principes doivent demeurer éternels .
5 mars 2024, 09:09, par oscar
Lvrai vote historique a été celui de la loi ; en 1975 je crois.
Cette inscription dans la constitution ne changera pas grand chose.
Le texte officiel, est rédigé ainsi
« La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse [IVG] »
A mon avis ,cela signifie ,que si demain ou après demain, un gouvernement interdit ou limite l’IVG, les femmes ne pourront plus choisir
Certes, actuellement, aucun parti politique français ne souhaite remettre en cause ce droit.
Qu’en sera t’il dans l’avenir ?
donc un non événement.