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L’Étang-Salé et Le Tampon sont les communes les plus touchées
12 février
Avec l’arrivée tardive de la saison des pluies, les conditions sont créées pour favoriser la reproduction des moustiques vecteurs du chikungunya. En sept jours, ce sont 204 nouveaux cas recensés par les autorités sanitaires. Mobilisation et vigilance s’imposent.
La Réunion connaît une intensification préoccupante de la circulation du virus chikungunya. Entre le 27 janvier et le 2 février 2025, 204 nouveaux cas ont été recensés, portant le total à 783 cas autochtones depuis le 23 août 2024, dont 671 depuis le début de l’année. Les communes de l’Étang-Salé et du Tampon restent les plus touchées. Bien qu’une légère stabilisation soit observée à l’Étang-Salé, le foyer du Tampon est en forte progression. Par ailleurs, une augmentation significative des cas est notée aux Avirons, à la Petite-Île, à Saint-Denis, à Saint-Leu, à Saint-Louis, à Sainte-Marie et à Saint-Joseph.
L’impact sanitaire demeure pour l’instant relativement faible, avec une activité limitée aux urgences et trois hospitalisations de plus de 24 heures. L’arrivée des pluies est particulièrement propice à la propagation des arboviroses telles que le chikungunya et la dengue. Les conditions climatiques humides favorisent la prolifération des moustiques vecteurs, augmentant ainsi le risque de transmission du virus.
Si l’épidémie n’est pas rapidement maîtrisée comme en 2005 et 2006, La Réunion pourrait faire face à une crise sanitaire majeure, avec une augmentation des cas sévères nécessitant des hospitalisations. Les conséquences économiques seraient également significatives, notamment en raison de l’absentéisme au travail, de la pression sur le système de santé et de la forte diminution des arrivées des touristes. Tout ceci peut créer un climat de défiance qui n’est pas bon pour le fonctionnement de l’économie.. De plus, l’environnement pourrait être impacté par une utilisation accrue d’insecticides pour tenter de contrôler la population de moustiques.
Pour lutter efficacement contre la propagation du virus, des actions de salubrité publique sont mises en œuvre par les communes, en partenariat avec l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ces initiatives incluent l’entretien des espaces publics, des opérations "Vid fon’kour" pour éliminer les gîtes larvaires, et des campagnes de sensibilisation auprès de la population. La Région, le Département, les communes et les intercommunalités peuvent également solliciter l’ARS pour des actions de formation du personnel aux enjeux de la lutte anti-vectorielle et pour relayer l’information auprès des habitants.
Il est essentiel que chaque citoyen adopte les gestes pour limiter la propagation du chikungunya :
- Éliminer les eaux stagnantes : Supprimez régulièrement les récipients où l’eau peut s’accumuler (coupelles, petits objets, pneus, etc.) afin de réduire la densité de moustiques autour de votre domicile.
- Se protéger des piqûres de moustiques : Utilisez des répulsifs, des moustiquaires, des diffuseurs ou portez des vêtements couvrants pour éviter les piqûres.
- Consulter un médecin en cas de symptômes : En présence de fièvre, maux de tête, douleurs articulaires et/ou musculaires, nausées, vomissements ou conjonctivite, consultez rapidement un professionnel de santé pour un diagnostic et une prise en charge adaptés.
Les personnes ayant contracté le chikungunya doivent continuer à se protéger tant que les symptômes persistent, afin d’éviter de transmettre le virus à d’autres. La mobilisation collective et le respect de ces mesures sont indispensables pour endiguer l’épidémie et protéger la population réunionnaise.
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Messages
12 février, 14:41, par Guillom
Vous n’évoquez pas le vaccin ni l’inaction flagrante des autorités de santé, comme la plupart des sites d’"information" vous êtes complices !
C’est honteux, nous sommes français quand les métropolitains veulent voyager chez nous, mais quand la situation est mauvaise ici nous ne sommes que des petits créoles de l’autre bout du monde, et notre santé n’importe pas !