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3 mars 2021
« Le système de santé réunionnais intervient logiquement en appui et en recours vis-à-vis de Mayotte, en toutes circonstances et à fortiori dans un contexte de crise sanitaire aiguë. La force de la vague épidémique, à Mayotte, induit beaucoup d’hospitalisations pour COVID en service de réanimation comme en service de médecine. Toutes les solutions pouvant être mobilisées sur Mayotte ont été mises en œuvre, en grande partie avec le renfort national (y compris de l’armée) pour permettre le doublement, aujourd’hui effectif, des capacités habituelles de réanimation. », écrit la Préfecture.
« En parallèle, l’ARS de La Réunion et les communautés hospitalières du département ont convenu et élaboré conjointement un schéma d’évolution capacitaire de façon à répondre aux besoins d’hospitalisation, pour concilier le mieux possible la réponse aux besoins propres de La Réunion avec ceux de Mayotte. S’agissant tout particulièrement de la réanimation, il a été convenu et mis en œuvre un schéma d’augmentation progressive, mais rapide, des lits. La capacité initiale de 71 lits (61 lits au CHU et 8 lits au CHOR) est passée à une capacité maximale de 122 lits (108 lits au CHU, 14 lits au CHOR et 5 lits à Sainte-Clotilde)entre février et mars.
À ce jour, 122 lits sont d’ores et déjà opérationnels, armés en personnels et en équipements dédiés, sur l’île de La Réunion. Cette capacité doit permettre l’accueil d’un maximum de 50 patients de Mayotte, tout en préservant 70 lits pour des patients de La Réunion, qu’ils soient ou non atteints de Covid.
Le renforcement des moyens en personnel, médical comme non médical qualifiés, a été rendu possible par :
· Le redéploiement interne de personnels dûment formés pour la réanimation au sein même des établissements de santé, en contrepartie de la transformation d’unités de surveillance continue et/ou de la fermeture des salles de blocs opératoires.
· Le recrutement externe auprès des personnels qualifiés et disponibles à temps plein sur le département.
· Le renfort humain national en médecins anesthésiste-réanimateurs, comme infirmières spécialisées de réanimation, soit encore 100 % du besoin total de renforts exprimés auprès du ministère de la santé.
Le taux d’occupation des lits en réanimation est compris entre 85 et 90 %. L’occupation du nombre de lit est considérée soutenues mais conforme aux standards attendus et constatés pour ce type d’activité médicale.
Une première opération de transfert portant sur 4 patients, jusqu’à présent pris en charge dans un des services de réanimation de l’île au titre du COVID est en cours de préparation en lien avec le centre de crise sanitaire national et le SAMU de France. »
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