
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Après l’annonce d’un couvre-feu général à La Réunion
24 février 2021, par
Lorsque cette crise aura pris fin, on va certainement s’interroger sur le bilan de la pandémie pour La Réunion. On se demandera alors pourquoi Le pays qui semblait si bien parti au début s’est retrouvé par la suite dans la situation qui est celle d’aujourd’hui. Laissons le bilan pour après, mais il est difficile de taire certaines impressions de plus en plus partagées dans l’opinion publique réunionnaise.
Loin de moi l’idée de partager l’opinion très minoritaire selon laquelle la maladie n’existe pas et qu’elle n’est annoncée que pour nous priver de nos libertés. La maladie existe bien, ennemie invisible, elle est là et ses dégâts sont impressionnants un peu partout dans le monde. On peut d’ailleurs rappeler qu’au début de la pandémie certaines voix autorisées ont annoncé qu’elle allait faire autant de morts que la grande guerre de 1914-1918 : on en est loin, mais nous ne sommes en étant optimistes qu’au milieu du gué. On pourrait aussi évoquer la parole d’un éminent politologue français disant que la maladie aurait pour effet de rééquilibrer la pyramide des âges.
Maintenant on peut sérieusement s’interroger sur la volonté d’état de nous priver de nos libertés. Coïncidence : les manifestations du samedi des gilets jaunes ont à peu près cessé avec le lot de répression dont la presse française dans ses rares moments de lucidité et de sincérité s’est fait l’écho. Sans parler des entreprises d’enfumage auxquelles on assiste régulièrement sur les chaînes de télévision nationales… La chine unique objet de mon ressentiment. Coïncidence encore : la présentation au parlement français d’une loi liberticide.
Pour nous à La Réunion ces tentatives de nous priver de libertés ne sont pas nouvelles : on en veut à nos aires de pique-nique, on nous coupe de la mer, on nous vilipende et on nous accuse, on nous tient pour responsables du pire. On ne tient pas compte de nos propositions qui sont de simple bon sens : pourquoi a-t-on érigé un hôpital militaire à Mulhouse et pas à Mayotte ? Pourquoi n’a-t-on pas pris les précautions indispensables à Gillot ? Pourquoi a-t-on laissé des dizaines d’avions débarquer chez nous leur cargaison de motifs impérieux pour réagir si longtemps, trop longtemps après que l’on ait tiré le signal d’alarme. Pourquoi a-t-on écouté avec complaisance des passagers extérieurs qui pour le moins se sont moqués de nous.
On aurait dit que les autorités cherchaient simplement à provoquer la majorité des Réunionnais et cela s’est terminé comme on sait par une histoire belge et par quelques prises de vue de personnages insolents dans les journaux télévisés…L’opinion publique réunionnaise se sent insultée et avec raison. Elle a l’impression que sa santé a été foulée aux pieds pour bien montrer qui commande et dans l’intérêt de qui… Où sont ces touristes en septaine ? Où en est le suivi à la culotte par l’ars ? On s’est fichu de nous et ce n’est pas la première fois.
Nous avons tous l’impression que le pouvoir d’Etat à La Réunion n’était pas réparé à cette crise et qu’il ne l’est pas davantage à cette heure. La Covid ne frappe pas que La France et La Réunion. On échoue ici alors qu’on réussit ailleurs. La presse ne manque pas de souligner des cas de réussite dans nombre de pays alors que chez nous l’échec est patent. Pire, les mesures prises mêmes celles d’aujourd’hui ne paraissent pas promises à la réussite - on aimerait souhaiter le contraire mais c’est tellement incohérent et les échecs passés n’annoncent pas la réussite de demain.
Nous serions responsables des échecs de l’état : trop de veillées mortuaires, trop de pti bal torte é les forces de l’ordre où sont-elles ? Gestes barrière mais surveillés par qui ? Septaines mais respectées ou non ? Pourquoi nous mettre sur le dos une responsabilité qui est celle de l’Etat local. Les réunionnais ne sont pas idiots ! S’ils étaient convaincus de l’efficacité des mesures ils se seraient ralliés. Vous prenez un médicament si vous êtes persuadé de son inefficacité. Vous prenez un traitement si ceux qui vous l’ont prescrit ont en mains un mauvais diagnostic.. Or le diagnostic est mauvais, les traitements ne sont pas bons. Souhaitons qu’au final les résultats soient au ren dez-vous..
Il y a deux façons de se tromper : L’une est de croire ce qui n’est pas, L’autre de refuser de croire ce qui est.
Sören Kierkegaard
Georges Gauvin
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