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Honorer leurs contributions et respecter leurs droits inaliénables
10 août 2020
L’inclusion et la participation des 476 millions de membres peuples autochtones du monde doivent être assurées dans la réponse à la pandémie du COVID-19 et sur la voie du relèvement, a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
Hier à l’occasion de la Journée internationale des peuples autochtones du monde, António Guterres a appelé l’attention sur l’impact « dévastateur » de la pandémie sur les peuples autochtones du monde entier.
« Tout au long de l’histoire, les peuples autochtones ont été décimés par des maladies importées d’ailleurs, auxquelles ils n’avaient aucune immunité », a déclaré le Secrétaire général de l’ONU.
Alors que les peuples autochtones étaient déjà confrontés à des inégalités profondément enracinées, à la stigmatisation et à la discrimination avant la pandémie actuelle, un accès insuffisant aux soins de santé, à l’eau potable et à l’assainissement augmente leur vulnérabilité, a-t-il ajouté.
Cela dit, les pratiques et les connaissances traditionnelles des peuples autochtones offrent également des solutions qui peuvent être reproduites ailleurs.
Par exemple, le peuple Karen de Thaïlande a relancé son ancien rituel de « Kroh Yee » - ou fermeture de village - pour lutter contre la pandémie. D’autres pays d’Asie et d’Amérique latine ont appliqué des stratégies similaires, les communautés fermant l’entrée dans leur région.
Dans son message, le chef de l’ONU a également souligné l’extraordinaire résilience dont font preuve les peuples autochtones face à des défis insurmontables.
Beaucoup ont perdu leur emploi dans les professions traditionnelles, le secteur informel ou les économies de subsistance. Les femmes - souvent les principaux fournisseurs d’aliments et de produits nutritifs pour leur famille - ont été particulièrement touchées par la fermeture des marchés de l’artisanat, des produits et d’autres biens, tout comme les enfants qui ont perdu l’accès à l’éducation en raison du manque d’internet.
En outre, les peuples autochtones ont été victimes de menaces et de violences, et nombre d’entre eux ont perdu la vie, dans un contexte d’empiètement croissant sur les territoires des peuples autochtones par des mineurs et des bûcherons illégaux en raison de la non-application des mesures de protection de l’environnement pendant la crise.
« Face à ces menaces, les peuples autochtones ont fait preuve d’une résilience extraordinaire », a déclaré M. Guterres dans le message, exhortant les pays à mobiliser les ressources nécessaires pour répondre à leurs besoins, honorer leurs contributions et respecter leurs droits inaliénables.
Les peuples autochtones doivent être consultés dans tous les efforts visant à reconstruire plus fort et à mieux se rétablir, a-t-il ajouté, notant que depuis le début de la pandémie mondiale, les agences des Nations Unies s’emploient à défendre les droits des peuples autochtones.
« Le système des Nations Unies reste déterminé à réaliser la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et à renforcer leur résilience », a-t-il conclu.
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