
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Application de mesures décidées par le gouvernement
19 octobre 2020
Un communiqué de la Préfecture indique que La Réunion est placée en état d’urgence sanitaire comme toute la République. En conséquence du statut de département, des mesures décidées pour la France s’appliquent à La Réunion alors que la réalité est bien différente.
Bien que les indicateurs de suivi de l’épidémie témoignent d’une amélioration relative, la circulation virale reste encore active à La Réunion et encourage à la poursuite des gestes barrière au quotidien.
C’est dans ce cadre que le Préfet de La Réunion a décidé de prolonger les mesures de gestion de l’épidémie décidées en concertation avec l’autorité sanitaire et les maires du territoire : zones élargies de port du masque obligatoire, interdiction de la consommation d’alcool sur la voie publique, interdiction des ouvertures tardives pour les débits de boissons, interdiction des compétitions sportives.
En outre, le Gouvernement a décidé jeudi de placer l’ensemble du territoire national en état d’urgence sanitaire. Un décret du Premier ministre, d’application immédiate, a été publié ce matin au journal officiel et précise l’ensemble des mesures désormais applicables à La Réunion comme partout en France.
Les rassemblements, réunions ou activités de plus de 6 personnes sont interdits sur la voie publique. Ces mesures s’appliqueront à compter du lundi 19 octobre afin de prendre en compte les événements déjà planifiés ce week-end. Les fêtes communales, associatives ou événements sportifs ne peuvent donc plus être organisées sur la voie publique.
Les dérogations à cette interdiction sont les suivantes :
- les manifestations revendicatives dès lors qu’elles ont été déclarées conformément au code de la sécurité intérieure et que l’organisateur a présenté un protocole sanitaire ;
- les marchés forains ;
- les rassemblements, réunions ou activités à caractère professionnel ;
- les cérémonies funéraires ;
- les visites guidées organisées par des personnes titulaires d’une carte professionnelle.
À compter de lundi 19 octobre, les événements pendant lesquels le port du masque ne peut être assuré de manière continue (parce qu’il y a de la restauration ou de la boisson) sont interdits dans les établissements recevant du public de type L (salles à usage multiple, salles des fêtes), CTS (chapiteaux, tentes et structures), P (salles de jeux), R (établissement d’enseignement artistique, centre de vacances) et Y (musées).
A contrario, des réunions de travail peuvent tout à fait s’y tenir de même que des réunions de club associatif tels que par exemple les clubs du troisième âge, le soutien scolaire ou l’organisation d’événements culturels dès lors que le public porte un masque, est assis et qu’aucune restauration n’est organisée.
Les cérémonies civiles (PACS, mariages civils, etc.) comme les cérémonies religieuses organisées dans les lieux de culte (funérailles, baptêmes, mariage) ne sont pas concernées par la mesure. Ce sont les festivités qui suivent les cérémonies qui sont interdites dans les établissements.
En tout état de cause, aucun événement de plus de 5 000 personnes ne peut se tenir dans les établissements recevant du public comme à l’extérieur.
Au sein des restaurants, hôtels et débits de boissons, il ne sera plus possible d’avoir des tables de plus de six personnes. Une distance minimale d’un mètre entre deux chaises de tables différentes devra par ailleurs être respectée. La capacité maximale d’accueil du public devra être affichée à l’entrée de l’établissement.
L’établissement doit définir sa jauge maximale d’accueil du public selon la règle des 4m2 par personne et l’afficher à l’entrée. Un système de comptage des flux doit être mis en place par le responsable de l’établissement afin de ne pas dépasser cette jauge maximale.
Une distance d’un siège doit être laissée entre deux personnes ou deux groupes constitués (famille par exemple) de moins de six personnes.
Les navires de croisières ne peuvent faire escale, s’arrêter ou mouiller dans les eaux intérieures françaises.
Le port du masque reste obligatoire pour les personnes de plus de 11 ans dans :
- les marchés forains de plein air ;
- les transports publics ;
- aux abords des établissements scolaires, universitaires et des crèches ;
- les zones à forte fréquentation. La cartographie des zones concernées est consultable sur : http://www.reunion.gouv.fr/port-du-masque-obligatoire-cartes-des-zones-a7191.html
La consommation d’alcool, propice aux rassemblements dans l’espace public reste interdite.
Les ouvertures au-delà de 00h30 pour les bars et restaurants restent interdites.
Les rencontres et compétitions de sports collectifs et de sports de combat restent interdites jusqu’au 30 octobre. La concertation déjà engagée avec les maires et les ligues se prolongera dans les jours à venir pour préparer des modalités de reprise des compétitions sportives à compter du 31 octobre 2020.
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)