
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
L’OMS met le monde au défi d’améliorer la qualité de l’air
6 octobre 2006
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) met maintenant les gouvernements du monde entier au défi d’améliorer l’air de leurs villes afin de protéger la santé de leurs populations. Cet appel intervient au moment où l’OMS publie ses nouvelles Directives relatives à la qualité de l’air, qui abaissent considérablement les normes relatives aux niveaux de polluants L’OMS estime qu’en réduisant les taux d’un type particulier de polluants, (connu sous le nom de PM10), on pourrait réduire tous les ans de 15% la mortalité dans les villes polluées. Ces Directives abaissent aussi sensiblement les limites recommandées pour l’ozone et le dioxyde de soufre.
Les Directives relatives à la qualité de l’air s’adressent pour la première fois à toutes les régions du monde et fixent des objectifs uniformes en matière de qualité de l’air. Ces objectifs sont bien plus sévères que les normes nationales actuellement en vigueur dans de nombreuses parties du monde, et dans certaines villes, elles auraient pour effet de diviser par plus de trois les niveaux actuels de pollution.
Sauver des vies humaines
On estime que la pollution atmosphérique est responsable d’environ 2 millions de décès prématurés par an, pour plus de la moitié dans des pays en développement. Dans bien des villes, les concentrations annuelles moyennes de PM10 (qui provient essentiellement de la combustion de carburants fossiles ou autres) dépassent les 70 microgrammes par mètre cube. Les nouvelles Directives affirment que pour éviter toute atteinte à la santé, ces concentrations devraient être inférieures à 20 microgrammes par mètre cube.
"En réduisant les niveaux de pollution, nous pouvons aider les pays à diminuer le nombre des cas d’infections respiratoires, de maladies cardiaques et de cancer pulmonaire auxquels ils auraient dû faire face. De plus, les mesures prises pour réduire l’impact direct de la pollution de l’air auront également pour effet de réduire les émissions de gaz qui contribuent aux changements climatiques et auront d’autres effets positifs pour la santé" a déclaré le Dr Maria Neira, Directrice à l’OMS du département Santé publique et environnement.
Les Directives mondiales sont basées sur les données scientifiques les plus récentes et fixent en matière de qualité de l’air des objectifs qui permettraient de protéger la grande majorité de la population contre les effets de la pollution sur la santé.
"Ces nouvelles directives ont été élaborées à la suite d’une consultation à l’échelle mondiale avec plus de 80 scientifiques de premier plan et elles ont tenu compte de milliers d’études récentes réalisées dans toutes les régions du monde. Dans cette mesure, elles constituent l’évaluation la plus consensuelle et la plus actualisée des effets de la pollution atmosphérique sur la santé, tout en recommandant des objectifs en matière de qualité de l’air susceptibles de réduire considérablement les risques pour la santé. Nous nous réjouissons de collaborer avec tous les pays afin de faire en sorte que ces Directives soient intégrées dans les législations nationales", a précisé le Dr. Roberto Bertollini, Directeur du Programme spécial sur la santé et l’environnement du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe.
Lutter contre la pollution atmosphérique
De nombreux pays dans le monde ne disposent d’aucune réglementation en matière de pollution atmosphérique, ce qui rend pratiquement impossible tout contrôle de cet important facteur de risque pour la santé. Les normes nationales qui existent varient considérablement et ne protègent pas suffisamment la santé humaine. (...) Les nouvelles Directives de l’OMS constituent donc une base sur laquelle tous les pays pourront élaborer leurs propres normes de qualité ainsi que des politiques en faveur de la santé reposant sur des données scientifiques solides.
La pollution atmosphérique, qu’elle soit sous forme de matières particulaires, de dioxyde de soufre, d’ozone ou de dioxyde d’azote, a de graves répercussions sur la santé. Ainsi, par exemple, dans l’Union européenne, rien que les matières particulaires les plus fines (PM2.5) sont responsables pour l’Européen moyen d’une perte d’espérance de vie statistique estimée à 8,6 mois. (...) En ce qui concerne le dioxyde de soufre, le niveau préconisé par les directives tombe de 125 à 20 microgrammes par mètre cube : l’expérience a montré que des mesures relativement simples permettaient de faire baisser rapidement les concentrations en dioxyde de soufre, avec pour effet direct de réduire les maladies et la mortalité des enfants. Les niveaux recommandés pour le dioxyde d’azote restent inchangés ; toutefois, atteindre ces limites, qui sont essentielles pour prévenir des conséquences sanitaires de l’exposition à la pollution telle que la bronchite, reste un énorme défi dans de nombreuses régions où la circulation automobile est intense.
"l’OMS a désormais fixé des objectifs dont les États membres peuvent s’inspirer pour élaborer leurs politiques."
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