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Chikungunya
12 janvier 2006
Jean se soucie de la santé de la population réunionnaise. Hier, il portait son regard sur l’évolution de l’épidémie de chikungunya au sein de l’île et tout particulièrement à Saint-Louis.
Les victimes du chikungunya ne se comptent plus aujourd’hui à La Réunion. Le moustique - Aedes Albopictus - n’a pas épargné la famille de Jean, agriculteur à Saint-Louis. Pendant une semaine, il reste au lit, le corps fiévreux. Le médecin le consulte 4 fois et "il faut débourser 10 euros de plus à chaque visite à domicile", rappelle-t-il. Durant cette période, il se sent faible, reste immobilisé au lit et a des sueurs froides. Aujourd’hui, il ressent encore des douleurs au bras gauche.
Une nouvelle victime au bout du fil
Alors qu’il expose sa situation, son portable sonne. Au bout du fil, une nouvelle victime de l’épidémie, un autre agriculteur. Jean regrette "le temps où les agents du service vectoriel de la DRASS venaient démoustiquer aussi bien les jardins des particuliers que les terres des cultivateurs. Ils passaient une fois par mois". Il regrette aussi "l’abandon de la campagne de la lutte contre le paludisme à La Réunion. Chaque année, l’île accueille de nombreux visiteurs venant de pays différents".
190 habitants touchés
Sans perdre de temps, Jean se rend sur l’une de ces parcelles. Des fruits pourrissent au sol et attirent les moustiques. Non loin, de l’eau stagne et les moustiques pullulent. Jamais, il n’a vu autant de moustiques sur ses terres. Sa profession d’agriculteur lui donne accès à des produits pour tuer les moustiques. Il les utilise à bon escient, mais malgré tout, il ne se trouve pas à l’abri. "Au sein du quartier du Ruisseau à Saint-Louis, 190 habitants ont contracté la maladie", affirme-t-il.
Aujourd’hui, Jean s’interroge sur le nombre véritable de malades à La Réunion. Il constate "la multiplication des cas au Ouaki, au Gol les Hauts, à Bois de Nèfles Cocos et à l’Étang", des quartiers de Saint-Louis. Il remarque que "jusqu’à présent, le ministre de la santé ne s’est pas rendu sur le sol réunionnais pour s’informer de la réalité de l’épidémie".
Jean-Fabrice Nativel
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