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Aux Antilles
20 janvier 2014
Des habitants de Saint Martin, de la Martinique et de la Guadeloupe ont été piqués par le moustique vecteur du Chikungunya au cours des derniers jours. Une situation qui s’aggrave en raison d’une intensification de la circulation du virus.
490 cas suspects ont été recensés par les médecins généralistes et 294 cas confirmés ou jugés probables, à Saint Martin. En Martinique, le nombre de cas confirmés ou jugés probables est de 127 et 12 communes de l’île sont touchées. En Guadeloupe, 76 cas suspects ont été recensés au 16 janvier, et 27 cas ont été confirmés ou jugés probables
En Guadeloupe, les épidémiologistes parlent de « chaînes de transmissions locales du virus » et n’utilisent pas le terme « épidémie ». Cependant, l’accroissement du nombre de personnes et l’intensification de la circulation du virus constatée pourraient les conduire à parler d’épidémie. D’après Outremer1ère, le comité des maladies infectieuses devrait se réunir la semaine prochaine pour éventuellement décréter le passage en phase 3 du programme de surveillance, d’alerte et de gestion des épidémies (Psage), correspondant à la situation d’épidémie.
A Saint Martin, une personne atteinte d’une forme sévère de la maladie, mais souffrant également d’autres pathologies, a succombé après avoir été hospitalisée. Ce décès est considéré par les autorités sanitaires comme « indirectement lié » au Chikungunya. De même, à Saint-Barthélemy, 81 cas probables ont été répertoriés dont une trentaine confirmés. Un tiers des quartiers serait touché mais près de la moitié d’entre eux est localisée dans le quartier de Corossol.
En Guadeloupe, d’après le dernier point épidémiologique cité par FranceAntilles, « la circulation du virus s’intensifie. Et le foyer identifié à Baie-Mahault reste très actif » car les deux tiers des cas confirmés résident sur la commune de Baie-Mahault, à proximité du foyer. D’autres régions sont touchées dans l’archipel, où « le nombre hebdomadaire de cas probables ou confirmés augmente de façon régulière au cours des dernières semaines. Cette période est probablement la plus critique pour espérer contrôler le risque d’épidémie par la surveillance renforcée, la lutte anti-vectorielle et la mobilisation de la population contre le moustique », a indiqué, vendredi 17 janvier, le centre d’épidémiologie.
La Martinique doit faire face à une forte progression de l’épidémie, avec 340 cas suspects. 12 communes sont désormais touchées. Le Comité d’experts des maladies infectieuses de la Martinique se réunira à nouveau la semaine prochaine afin de pouvoir statuer sur la situation épidémiologique.
En mars 2006, les sénatrices Gélita Hoarau et Anne-Marie Payet ont déposé un rapport d’information sur l’Epidémie de Chikungunya à La Réunion ». A cette occasion, la sénatrice PCR, Gélita Hoarau a mit en avant quatre conséquences de cette épidémie sur les Réunionnais. Tout d’abord, économique avec la multiplication des arrêts maladie dans de très petites entreprises et l’impact sur le tourisme, mais aussi au niveau de la croissance et de l’emploi dans le département.
D’un point de vue environnemental, « les opérations de démoustication sont nécessaires pour lutter contre ce fléau », mais « les épandages massifs de produits hautement polluants, notamment pour les nappes phréatiques » sont ravageurs pour la biodiversité. Sur le plan social, 300.000 personnes relèvent de la couverture maladie universelle et n’ont pas forcément les moyens de se doter des répulsifs nécessaires à la prévention.
Face à cette situation, pour que « les moyens qui vont être déployés ne seront efficients que s’ils se développent dans un climat de confiance retrouvée ». Celle-ci se base pour la sénatrice sur l’importance de dire « la vérité aux Réunionnais en agissant dans la plus grande transparence et en « multipliant les actes pour témoigner à la population réunionnaise de la solidarité de la nation ». Deux conditions essentielles pour endiguer la maladie et prévenir tous les réunionnais des techniques de protection et de prévention.
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