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Un scandale sanitaire de plus
21 octobre 2017, par
Après le Levothyrox, un nouveau scandale sanitaire arrive, il s’agit de l’utilisation détournée d’un médicament, le Cytotec, pour accélérer les accouchements. Il va être retiré du marché.
Vous pensiez que feue l’Afssaps et l’actuelle ANSM étaient là pour vous protéger contre les labos-dingos, de leurs “médicaments”, des détournements illégaux de leur usage, de la cupidité de certaines cliniques, et que la démonstration de la nocivité de ces produits et des pratiques illégales des cliniques et des violences engendrées à l’encontre des mamans et de leur bébé suffisait à interdire ces médicaments et leurs usages illicites et dangereux ? Vous avez tout faux : les « usines à bébés » se fichent pas mal du confort des mamans, de leur bébé et du respect des processus naturels de la naissance. Seuls comptent le rendement, les profits réalisés et la volonté des dirigeants de ces établissements de n’avoir pas à payer des primes et autres avantages en cas d’accouchements survenant le week-end. Pour éviter cet “inconvénient” et gérer le planning de la production de bébés, on détourne l’usage d’un médicament — comme pour le médiator — pour déclencher systématiquement les accouchements et accélérer ensuite les contractions de l’utérus. « Expulsez-moi ce bébé sans perdre du temps ! », vite ! Vite ! Toujours plus vite puisque le temps, c’est de l’argent ! Et si, en dépit de l’usage de ces médicaments, le bébé prend son temps pour venir au monde, on coupe l’une des lèvres du sexe de la maman, sur 3 cm parfois. Les violences faites aux femmes ne sont pas le seul fait de voyous et de pervers, elles sont également le fait d’obstétriciens voyous n’ayant en vue que leurs profits et leur confort.
Cet article, paru ce jour dans Le Figaro prouve, que l’ANSM ne fait que constater timidement ce qui ne va pas et BASTA !
Et que font nos ministres de la santé dont les deux dernières sont issues du monde des labos ?
Posez-vous la question avant de lire l’article du Figaro qui vous donne la réponse.
Consternante.
La course au profit de ces êtres inhumains ne respecte rien, pas même les mères qui leur ont donné la vie.
Jean
Clap de fin pour le Cytotec® ! Le médicament ne sera bientôt plus commercialisé en France, sur décision du laboratoire américain Pfizer qui le produit. Et pour cause : alors qu’il avait été prévu pour traiter de problèmes gastroentérologiques, ce produit était principalement utilisé dans pour des prescriptions…, en gynécologie-obstétrique.
Alors que le Cytotec®, qui se prend par voie orale, est commercialisé en France depuis 1986, pour traiter les ulcères de l’estomac notamment, près de 80 % des prescriptions concernent… les avortements, le déclenchement de l’accouchement ou encore la pose de stérilet. Sauf que, pour cette utilisation, le laboratoire n’a jamais reçu d’autorisation des autorités sanitaires - ou autorisation de mise sur le marché (AMM). Pis, ces dernières ont plusieurs fois alerté les professionnels de santé contre ce mésusage. Sans jamais pouvoir régler la situation.
« C’est le laboratoire, en voyant que les autorités sanitaires n’arrivaient pas à faire changer les pratiques de prescriptions qui a décidé, par lui-même d’arrêter la commercialisation en France », assure Alain-Michel Ceretti, Président de France Assos Santé et fondateur de l’association Le Lien.
S’il est utilisé en gynécologie, c’est que le Cytotec® est moins cher que les alternatives thérapeutiques existantes. Concernant l’interruption volontaire de grossesse, par exemple, il existe un autre produit, avec le même principe actif (molécule active du médicament) : le Gymiso®. Ce dernier a reçu une autorisation de mise sur le marché dans le cadre de cette intervention. Mais selon une enquête de pharmacovigilance menée en 2012, le Gymiso® ne serait prescrit par les médecins que dans 8 % des cas. Et cela au profit du Cytotec®, près de 300 fois moins cher.
Pis, pour déclencher l’accouchement, ni le Gymiso®, ni le Cytotec® ne devraient être prescrits, car ils n’ont pas été évalués pour cette pratique, rappelait la Haute Autorité de Santé en 2008. Pourtant, ce dernier serait régulièrement utilisé, car il a pour particularité d’augmenter les contractions.
En février 2013, l’association de patients « Timéo et les Autres », qui dénonce « la violence subie par les bébés nés sous Cytotec® et par leur maman », rapporte même des effets indésirables graves lors de l’utilisation de ce médicament pour déclencher la grossesse.
Pas prévu dans les textes
Mais, constat effrayant : l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui reconnaît, en février 2013, que le produit « peut entraîner des effets indésirables graves pour la mère et l’enfant », ne peut rien faire. Car « le laboratoire Pfizer ne souhaite pas déposer une demande d’AMM en gynéco-obstétrique. » Le géant américain a en effet peu intérêt à lancer une étude, coûteuse, pour évaluer l’efficacité de son produit dans l’utilisation gynécologique… alors qu’il y est justement déjà très utilisé.
L’ANSM se contente alors de faire un point d’information. Elle note avoir « pris connaissance d’un usage hors AMM de Cytotec® pour déclencher l’accouchement ». Et elle rappelle qu’il n’y a pas « de données de sécurité d’emploi qui présagent d’un rapport bénéfice/risque favorable du Cytotec dans cette indication, quelle que soit la voie d’administration. »
Légalement, l’ANSM ne peut en effet pas contraindre les médecins à prescrire uniquement des médicaments qui ont une AMM correspondant à leur utilisation. De même, le médicament, prévu pour un usage gastroentérologique, ne pouvait pas être retiré du marché pour son utilisation en gynéco-obstétrique, puisqu’il n’était pas censé y être autorisé.
En l’absence de prise de décision politique, la justice s’en est mêlée. En décembre 2016, le tribunal administratif de Versailles a reconnu en première instance la responsabilité de la maternité de Poissy dans le handicap d’un jeune homme, suite à la délivrance de Cytotec® à la maman, par voie vaginale, au moment de l’accouchement. Le tribunal rappelle que le « Cytotec® a fait l’objet d’une étude scientifique (…) insuffisante ». Ni le laboratoire Pfizer, ni l’ANSM n’ont été inquiétés.
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